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  • Atteint de la maladie de Crohn, il se lance dans son premier marathon

     

     

     

     

    " Un habitant de Rosières-aux-Salines (Meurthe-et-Moselle) se lance dans le premier marathon de sa vie ce dimanche 17 octobre à Amsterdam. Lui qui est atteint de la maladie de Crohn veut ainsi montrer que le sport fait du bien et que "son ventre lui dit merci".

     

    Ghislain Blaise se lance dans son premier marathonGhislain Blaise se lance dans son premier marathon © Radio France -Isabelle Baudriller

     

    Il va disputer le premier marathon de sa vie. Ghislain Blaise, 29 ans, un habitant de Rosières-aux-Salines, participe dimanche 17 octobre au marathon d'Amsterdam. Il part ce samedi pour les Pays-Bas. Un défi d'autant plus important pour lui qu'il souffre de la maladie de Crohn depuis 10 ans, une inflammation chronique du tube digestif qui affecte près d'une personne sur 1 000 en France.  

    Ghislain Blaise a ressenti les premiers symptômes il y a 10 ans après un "gros stress". "C'est compliqué de vivre correctement quand on a cette maladie", confie-t-il, "on doit souvent aller aux toilettes, on a des ballonnements, des saignements. On est souvent fatigué et en général, les solutions sont des traitements à vie pour essayer de se soulager sans guérir la maladie." 

    Le jeune homme s'est fait opérer en 2017 et porte désormais à vie une poche qui lui évite d'aller très fréquemment aux toilettes. Il fait du vélo, "un peu de football", a repris la course à pied il y a deux ans, a couru les semi-marathons de Nancy cette année et l'an passé.

    Ghislain Blaise, lors du semi-marathon de Nancy en 2020Ghislain Blaise, lors du semi-marathon de Nancy en 2020 © Radio France -DR

    Son credo ? Sport et maladie ne sont pas incompatibles, bien au contraire. "C'est ce qui fait du bien, même si on a des difficultés physiques. Mentalement, on se sent apaisé et le ventre nous remercie ! Il faut aller de l'avant, ne pas se laisser abattre même quand c'est dur. Aller à son rythme dans le sport. Quand le corps est fatigué, on le laisse se reposer."

    Ghislain Blaise a parcouru un semi-marathon en 1h36. Ce premier marathon à Amsterdam, il espère l'avaler en 3h30."

     

    Quel courage ! J'admire...

    Je ne sais pas comment s'est déroulé ce marathon mais peu  importe, il a osé essayer et c'est déjà merveilleux

     


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  • Télécharger « Jessica_Cox_touchantleciel.pps »

     

    Je regarde cette vidéo et je suis ahurie... admirative

    Comment oser se plaindre, se décourager ?

    Et vous, que ressentez-vous en regardant Jessica?


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    Hors du foyer conjugal, il était d'une honnêteté foncière.

    Mais, avec elle, tant il  craignait de devenir son prisonnier, mentir lui était familier...

    Il désirait l'égarer dans un labyrinthe  sans issue.

    Ainsi se sentirait-il à l'abri... c'est du moins ce qu'il croyait plus ou moins consciemment.

     

    Pourtant, elle n'était pas possessive...

    Et  pensait-elle, l'amour que les autres éprouvaient pour lui ne lui donnaient que plus d'éclat.

     

    Mais il était tellement égaré  en lui-même qu'il refusait avec âcreté cela même qu'il désirait

    le plus violemment. Et pour se préserver de l'amour, il ne reculait devant aucune lâcheté,

    devant aucun mensonge. Il avait tellement peur de ses désirs qu'il s'acharnait à les tuer.

    Seuls pouvaient pointer le nez ceux qui n'étaient pas essentiels...

    Ainsi se donnait-il l'illusion d'être encore vivant.

     

    Mais elle ne se décourageait pas ou plutôt ses découragements étaient de courte durée.

    Elle croyait mourir à chaque tempête...mais la tempête éloignée, l'espoir renaissait.

    Elle avait peu de certitudes mais une l'habitait depuis qu'elle avait rencontré cet homme :

    le chemin serait âpre mais ils se retrouveraient un jour

    et ils vivraient alors un temps merveilleux où l'harmonie des contraires enfin réunis 

    chanterait un hymne d'amour éternel.


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    C'est un petit bout de femme de 106 ans. 

    Colette Maze vit seule dans son appartement parisien du XVe arrondissement

    Sa raison de vivre : son piano. Elle en joue quatre heures par jour.

    Cet instrument est synonyme de réconfort et de refuge pour la centenaire, née en 1914 dans une famille bourgeoise, qui l'a élevée à la dure. 

    "Le piano me donnait un peu de tendresse et d'évasion.

    Ce que je ne trouvais pas dans ma famille, je le trouvais grâce à lui", se souvient-elle.

    "Aimez la vie, et elle vous aimera"


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