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        • Emerveillement

          Par gazou . le 15 Janvier 2021 à 15:15

           

           J'ai été émerveillée en lisant ce texte

           

           

          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard

          26 Octobre 2019

          By Jean-Pierre Brouillaud :  http://l-illusion-du-handicap.com/

          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard
          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard
          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard

                     Ma participation au livre  EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard.                                                                           

                                                                 **********************

          Lorsque Matthieu m’a proposé d’écrire sur l’émerveillement, un instant la tasse de thé que je tenais a perdu du poids. Une réflexion m’est immédiatement venue à l’esprit et je l’ai serrée contre mon cœur : on ne peut pas écrire sur l’émerveillement, on ne peut qu’écrire avec lui afin qu’il devienne contagieux !

          Depuis un demi-siècle, mes yeux ne laissent plus entrer la lumière, et pourtant cette proposition d’écrire sur l’émerveillement – même si dans cet ouvrage le déclencheur semble être strictement visuel – ne m’a pas déstabilisé. Loin de l’accueillir comme un défi, je l’ai entendue telle une invitation à la complicité. 

          Lors de mon entrevue avec Matthieu, la tranquillité de sa voix, le poids de la tasse entre mes doigts, le goût du thé, tout était réuni pour que je dise « oui » à sa proposition ; en toute confiance, un « oui » a donc éclos sur mes lèvres. Dans l’enthousiasme et la beauté du moment partagé, la gratitude m’a semblé le plus beau des jardins pour que croissent les graines de mots et que fleurisse l’émerveillement.

          Et comme quelquefois il m’est offert de surprendre le langage des oiseaux, j’ai entendu dans le verbe émerveiller : aimer et veiller.

          Même si, éthylique, il titubait devant moi, je ne fouillerais pas dans les poches du destin. Connaître l’avenir serait, à coup sûr, passer à côté de la possibilité de s’émerveiller, verbe dont la conjugaison ne peut se faire qu’au présent.

          Émerveillement, abrupt rayon de soleil sur la glace de notre indifférence !

          Quand l’émerveillement fluidifie la glace de notre torpeur, créant une alchimie entre temps et espace, l’objet vu, entendu, senti — photos, paysages, musiques, fleurs — perd le statut d’objectivité. L’observateur, lui aussi, vacille, fond. Une bourrasque de jubilation saisit alors objet et sujet, les accordant à un diapason invisible.

          Révélation, communion, unité de la Lune et de son reflet, du cri et de l’écho, d’un paysage et de sa photo.

          L’émerveillement est à l’amour ce que le vent est aux cordes tendues de la harpe.

          Il me vient alors à l’esprit cette histoire : Un puissant nabab et un pauvre paysan avaient chacun un enfant. Le puissant seigneur monta avec son fils en haut de la plus haute colline. Il lui montra le paysage en contrebas et lui dit avec orgueil :

          — Regarde, mon fils ! Un jour, tout cela sera à toi, le jour où tu me succéderas.

          D’un geste ample, il désigna rizières, temples, maisons, étangs, et même les gens qui travaillaient dans les champs. Le fils ressentit alors une grande exaltation, une ivresse de puissance, un bonheur intense. Mais tandis qu’il redescendait prudemment de la colline, ce bonheur fut perturbé par des pensées de peurs : et si son père demain changeait d’avis ? Et si des intrigants prenaient le pouvoir ? Et si… Et si…

          Pendant ce temps, le paysan pauvre montait tranquillement avec sa fille sur l’autre versant de la même colline. Arrivé en ligne de crête, il lui murmura, une larme de gratitude coulant sur sa joue :

          — Regarde, ma fille. Regarde !

          Debout et en silence devant le paysage grandiose, l’enfant, attentive aux sons qui montaient de la vallée, aux arômes, aux couleurs, au moindre souffle de la brise, goûta alors à l’émerveillement simple, celui qui réenchante le monde.

          L’émerveillement exprime avec gratitude notre impossibilité à comprendre le monde, nous faisant passer comme le disait un ami cher « de l’ignorance triste à l’ignorance joyeuse. »

          Selon moi, la nature et l’art, sont les moyens inventés par la vie pour nous faire réaliser notre rôle de co-créateur.

          Mais seule l’eau transparente de l’attention

          Dit l’émerveillement et réveille l’inspiration.

          Émerveillé comme Mozart écrivant son Requiem

          Nu, je me suis alors offert au courant

          La vie m’a fait un croc-en-jambe en criant je t’aime.

          Eau, soleil, air, vous êtes devenus mon visage, mes vrais parents.

           

          Les images de Matthieu Ricard sont une invitation à l’émerveillement ; regardons-les le cœur grand ouvert, comme la fille du paysan de l’Inde !

           

          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard
          EMERVEILLEMENT de Matthieu Ricard

           

          http://www.tibet.fr/actualites/emerveillement-le-nouveau-livre-de-mathieu-ricard/?fbclid=IwAR0pesV6cGQ0ww3DB0yMKGC5T9PcZy3PiDK-NbzMPy7csiD1dKr6tXKiFKw

           


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        • Une centenaire étonnante : Simone Hivert

          Par gazou . le 13 Octobre 2020 à 20:55

           

           

           

           
           

           

          Une centenaire en marche vers Saint-Jacques-de-Compostelle
           
           
           

          Les chemins de Saint-Jacques s’apprêtent à accueillir une pèlerine

          hors norme. Simone Hivert, qui doit rejoindre l’Espagne le 27 octobre,

          a… 100 ans. Elle étonnait déjà il y a deux ans par sa fidélité aux

          clubs de randonnée de la région. On la voyait, menue, cheveux

          courts au vent, une canne à la main, offrant son visage souriant

          à un rayon de soleil hivernal dans les pages de La Charente Libre.

          Deux ans plus tard, bon pied, bon œil et bonne oreille, elle veut

          achever à pied le chemin de Compostelle.

           

          Coronavirus, des pèlerins en forte baisse sur les chemins de Compostelle

          À l’origine de ce projet un peu fou, des émerveillements

          réciproques. D’abord ceux de Simone, nombreux.

          On ne traverse pas un siècle de vie sans connaître d’épreuves –

          et elle en a connu ! –, mais à la simple mention du mot

          « randonnée », cette petite femme à la voix fraîche, teintée

          d’un léger accent qui fleure bon la campagne, répond

          spontanément par une pluie de gratitude pour « le plaisir de marcher, de découvrir », et surtout de « rencontrer les autres ». « On a des

          surprises formidables ! On croise des personnes de partout,

          de tous les âges, on avance ensemble et, au bout d’un moment,

           on comprend qu’on est loin de pouvoir porter ce qu’elles portent,

          et pourtant, elles sourient ! Ça donne de l’humilité, vous savez… »

          Un médecin admiratif

          Son médecin traitant depuis 36 ans, le docteur Jean-Louis Barret, lui,

          est émerveillé par la personnalité de sa patiente : « Jamais un

          interne de passage dans mon cabinet n’a été capable de deviner son

          âge. Non seulement Simone se porte bien, mais elle va spontanément

          vers les autres. Elle est pleine de joie. » C’est lui qui a proposé à

          Simone d’aller marcher vers Compostelle et a alerté la presse.

           

           

          Une route qui a « quelque chose d’indéfinissable

           

           


           
           

           

           

           

           

           

           

           

           

           

           

           
           
           
           

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        • Chloë, 20 ans, atteinte de mucoviscidose,championne du monde de ballet sur glace

          Par gazou . le 30 Septembre 2019 à 11:08

          Je lis cet article et je suis admirative. Sa maladie l'astreint à 6 heures de soin par jour et elle parvient quand même à faire du sport de façon intensive !!

           

          " Les progrès de la recherche permettent aux malades de la mucoviscidose de vivre une vie de plus en plus normale. A 20 ans, Chloé Fernandes est devenue championne du monde de ballet sur glace. L'Iséroise ne s'est jamais interdite de rêver à cause de sa maladie.

          Par Margot Desmas avec Jean-Christophe Pain Publié le 29/09/2019 à 19:00

          Ils étaient plusieurs centaines à marcher ou courir pour "donner un peu de leur souffle à ceux qui en manquent". Les 33e Virades de l'espoir organisées dimanche 29 septembre à Lans-en-Vercors (Isère) ont créé un élan de solidarité autour des malades de la mucoviscidose. Cette maladie génétique reste jusqu'à présent incurable et nécessite une prise en charge importante.

          Mais pas de quoi empêcher Chloé Fernandes de rêver. A 20 ans, la jeune femme est atteinte de cette pathologie pulmonaire depuis sa naissance. Si elle confesse qu'il y a des périodes "beaucoup plus difficiles que d'autres", la maladie ne l'a pas empêchée de réaliser son objectif. L'Iséroise a été sacrée championne du monde de ballet sur glace lors d'une compétition aux États-Unis. "C'était inespéré, un vrai bonheur", commente Frédéric, son père, ému.

          Chloé a accompli cet exploit avec son équipe de Villard-de-Lans : "Elle a fait preuve d'une véritable abnégation pour réaliser ces efforts et rattraper le niveau de l'équipe malgré sa maladie". "Ca demande plus d'efforts physiques dans toutes les activités, mais c'est surtout une charge mentale puisque ce n'est pas facile à vivre et à accepter", ajoute-t-elle. Séances de kinésithérapie, prise de cachets, aérosols... La mucoviscidose lui demande 6 heures de soin par jour.

           

          "Un nouvel horizon"


          "J'essaye de me projeter et de me dire que ma vie va finir par être normale", explique Chloé, férue de sport depuis l'enfance, qui a déjà parcouru le monde pour ses compétitions. Grâce aux Virades de l'Espoir, un événement de soutien aux malades organisé une fois par an, la prise en charge a beaucoup évolué. A la naissance de Chloé, l'espérance de vie moyenne n'atteignait pas l'âge adulte.

          "Le tableau était très noir. On nous annonçait un avenir compliqué, une vie à part, isolée, loin des écoles, se rappelle Frédéric, le père de Chloé. Mais aujourd'hui, grâce aux efforts des associations et des hôpitaux, il y a des malades adultes et même certains qui deviennent parents. C'est un nouvel horizon qui s'ouvre à moi, je vais peut-être pouvoir un jour être grand-père."
           

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            35e Virades de l'Espoir : "La mucoviscidose reste une maladie mortelle et incurable" (Prof.Isabelle Durieu) 


          Malgré les avancées de la recherche, on ne guérit toujours pas de la mucoviscidose. Il reste possible de limiter les conséquences de la maladie sur le système respiratoire ou digestif, notamment en faisant du sport. En France 200 enfants atteints par cette maladie naissent chaque année, leur espérance de vie est actuellement estimée à une cinquantaine d'années. Les Virades de l'Espoir permettent de financer en partie les traitements et la recherche, mais l'association Vaincre la mucoviscidose manque encore de moyens.

          Elle a lancé une pétition à l'attention de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, dénonçant le "manque de 50% des professionnels de santé pour soigner les malades atteints de la mucoviscidose dans les centres agréés par les hôpitaux". L'association demande une augmentation de 10 millions d'euros par an du budget de ces centres spécialisés.

          Championne du monde de ballet sur glace, Chloé ne s'interdit pas de rêver à cause de sa maladie. / © DRChampionne du monde de ballet sur glace, Chloé ne s'interdit pas de rêver à cause de sa maladie. / © DR


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        • Le chapeau

          Par gazou . le 6 Juin 2019 à 14:56

          Je retrouve ce texte que j'ai écrit il y a un peu plus de trente ans....

           

           

          D'abord elle me parut laide...trop long ce nez !  Sans intérêt cette tête ! A peine l'avais-je aperçue, déjà je détournais les yeux, à l'affût de personnes plus séduisantes...

          Et la soirée s'écoule oublieuse de ce visage à peine entrevu. Mais les premiers étant partis, la voilà qui se rapproche et se trouve, quel hasard, en face de moi ! Je ne peux plus l'ignorer, il faut bien que je la regarde, que je prête une oreille aux paroles qui d'elle me parviennent...Et, est-ce encore un hasard ? De quoi parle-telle ? Elle parle d'écriture, elle me donne son nom: "Cylène" !  Tiens, C comme Cyrano !   et si de son cousin elle a la disgrâce, dame ! Elle en a aussi l'esprit !

          Et me voilà bien marrie d'avoir d'elle mes yeux détournés. Moi, si prompte à juger les esprits qui, aux apparences seules, accordent quelque valeur, j'aurai désormais plus d'indulgence,  car, dans ce même travers, me voilà tombée et j'en suis toute déconcertée.

          Et cette belle dame, je la remercie dans un long  sourire silencieux pour ce, qu'en cet instant, sans qu'elle ne s'en doute elle vient de m'apprendre, et c'est pourquoi mon merci restera silencieux.

          Et pour que la leçon porte davantage ses fruits, la voilà, tout aussi inconsciente et sereine, qui s'apprête à partir et pose sur sa tête un quelconque chapeau, un peu haut cependant, et stupéfaction !...

          Cette dame, si mal jugée tout à l'heure quand elle était assise à table, c'est qu'elle a fière allure avec ce chapeau et ce demi sourire accroché à ses lèvres . quelle tête originale est-ce là et qu'il me plaît de la contempler ! Quel dommage, elle s'en va déjà, etje n'ai pas su la rencontrer.

          Car de Cyrano, son frère, en plus du nez, de la plume et du panache, je suis sûre qu'elle avait aussi l'esprit, et plus encore, le coeur et une finesse exquise.

          Ah ! Méprise funeste ! Allais-je  comme Roxane ne connaître la réalité que trop tard ! J'ai bien failli partager son aveuglement.

          Il a fallu le miracle d'un quelconque chapeau pour que la métamorphose s'accomplisse et qu'à mes yeux soudain lucides, Cendrillon se dévête de ses oripeaux, Hélène quitte ses laids sabots et qu'enfin je sache contempler l'être qui est devant moi.

          Le rideau des illusoires apparences déchiré, j'ai connu une réalité plus profonde et je m'en suis abreuvée.

           


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        • Thamer Aljouhari

          Par gazou . le 15 Novembre 2018 à 14:33

          © France 3 RA© France 3 RA

          Thamer Aljouhari est un réfugié Syrien doté d'une force herculéenne. Aujourd'hui, il avait pour but d'entrer dans le Guinness Book des records en tractant un camion de plus de 11 tonnes sur plus de 10 mètres. Un exploit couronné de succès, réalisé à Epinouze, sa commune d'accueil dans la Drôme.

          Par Dolores Mazzola Publié le 21/10/2018 à 19:08

          Sa puissance tient dans sa chevelure. Thamer Aljouhari n'est pas sans rappeler un certain Samson !  Thamer Aljouhari est une force de la nature... depuis l'enfance.

          Aujourd'hui, il s'était donné pour objectif d'entrer dans le Guinness Book des records en réalisant un exploit peu banal : tracter avec sa chevelure un poids lourd sur plus de 10 mètres. Pour être homologué le livre des records avait proposé de mandater un de ses agents. Coût du déplacement : 5000 dollars. Trop cher pour Thamer Aljouhari, réfugié syrien arrivé à Epinouze en 2015.

          C'est grâce à un direct avec Londres via des téléphones portables qu'il va pouvoir faire valider son exploit. Car avec sa chevelure, le jeune syrien est parvenu à tracter l'engin de 11 tonnes et 240 kilos sur 10 mètres 70.  Thamer doit encore patienter quelques semaines avant la validation de son record.

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