•                                       Lithographie originale de Gérard Garouste "Ukraine"

    Je découvre cette couverture de Télérama.

    D'emblée, elle m'a séduite et quand on lit  ce que Fabienne Pascaud nous en dit et que je n'ai pas vu au premier regard,

    c'est encore plus clair

     


    "Pour signifier son attachement à l’Ukraine, à la défense de sa liberté et de sa démocratie, Télérama a confié sa couverture au plus grand peintre français d’aujourd’hui, Gérard Garouste. Comment ne pas avoir confiance dans la générosité, la profondeur de son regard pour exprimer nos craintes et nos espoirs ? Notre magazine culturel célèbre chaque semaine les intuitions, les fulgurances des plus singuliers créateurs. Donner carte blanche à Gérard Garouste est aussi une manière d’être fidèle à nous-mêmes. 

    Puis est venue l’idée de partager avec vous un autre projet, plus ambitieux, grâce à cette couverture : en tirer 300 lithographies numérotées et signées par l’artiste et les vendre 300 euros, à tous ceux et celles d’entre vous qui voudraient soutenir ce pays au bord du chaos. Les sommes recueillies seront reversées à la Croix-Rouge.

    Une œuvre d’art pour aider des hommes et des femmes livrés à la tragédie : le geste a enthousiasmé Garouste, qui a bénévolement relevé le défi. Son imprimeur Stéphane Guilbaud-Chaney aussi, qui a décidé d’offrir la fabrication des lithographies. Joint le mardi, le peintre nous a livré jeudi cette magnifique image, se pliant à des contraintes de temps inhabituelles, triomphant de « sa trouille » de ne pas être à la hauteur de pareille responsabilité. Mais heureux d’utiliser ses uniques armes : « mes outils et mes pinceaux ». D’emblée, il a proposé ce long corps juste revêtu des couleurs ukrainiennes, et enchevêtré à un homme-arbre. Ses pieds s’enracinent dans les flammes, la violence, la guerre ; sa tête épouse le ciel, les fleurs mêmes de cet arbre planté au cœur de la tragédie. « Le personnage est double et inversé, avec un aspect négatif (en bas) et positif (en haut). Ce qui m’intéresse est de montrer combien le bien est imbriqué dans le mal et que toute chose nourrit son contraire, comme l’enseigne la kabbale juive. Même s’il ne faut pas oublier que la quête de justice et de liberté est cette fois du côté de l’homme aux couleurs de l’Ukraine. L’essentiel est qu’un tableau suscite des questions. »   Fabienne Pascaud


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    Mise au ban, cachée puis spoliée durant la Seconde Guerre mondiale, «La Petite Fille au ruban bleu», peinte par Auguste Renoir en 1880, livre ses secrets et ceux de son modèle Irène Cahen d'Anvers. La toile est intimement liée aux heures les plus sombres de la France de la première moitié du XXe siècle. Bientôt exposée à la Kunsthaus à Zürich, le chef-d'oeuvre fait partie des pièces maîtresses de la Collection Emile Bürhle, une collection exceptionnelle mais très controversée. L'exposition de ce tableau de Renoir mondialement reconnu fait encore aujourd'hui ressurgir les fantômes du passé et révèle l'histoire qui se cache derrière.

    réalisé par : Nicolas Lévy-Beff


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  • Noël

     

     

    Cette Nativité de Maurice Denis donne à croire que la nuit n'éteint pas le jour

    et que Dieu se tient dans les plus humbles et les plus banales des existences.


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  • Je vous souhaite à tous de très belles fêtes.

    Que l'amour, la joie, la paix illuminent vos coeurs.

     

     

             

    Giotto : Nativité et annonce aux bergers


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    J'ai  aimé ce tableau mais j'ai oublié de mettre le nom  de l'artiste qui l'a peint....

    Peut-être que quelqu'un  parmi vous saura me le dire?

    Mais cela n'empêche pas de l'admirer..

     

     

     

    3e dimanche de l’Avent : le temps de la joie


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