• Je découvre ce texte, écrit il y a 30 ans; lors d'un stage d'écriture à Vallon Pont d'Arc

    et je reste songeuse...je me souviens

     

    Lieu aride

    lieu stérile

    lieu pour se dépouiller

    et se construire

     

    A perte de vue

    rien ou presque rien

    Des arbres, des buissons

    Des pierres, deschemins

    des chardons

     

    Rien que le silence du vent

    qui me pénètre

    Vent qui me possède

    me donne l'espace

    me rassemble;

     

    Pierres nostalgiques

    ou bien ordonnées

    des maisons anciennes

    disant nos racines

    et nos vies.

     

    Bordant le chemin

    gonflées de soleil

    aqueuse,je te creuse

    Pierre

    de toi jaillit la source.


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    Le secret du bonheur selon Richard Geere :
     
    "Il existe un exercice puissant, assez simple, que j'ai commencé à utiliser il y a de nombreuses années.
    Lorsque sur mon chemin, je rencontre soit une personne ou un animal ou même un insecte, la première pensée qui me vient est: «Je vous souhaite le bonheur" " Je te souhaite du bonheur ."
    Cela change complètement ce qui se passe entre vous et cette personne.
    Je dis cela par expérience personnelle.
    Quand vous rencontrez un ennemi, quand vous vous trouvez face à une situation difficile inattendue ..cela est difficile, très difficile .
    Et à ce stade, ... Vous voyez comment cette émotion négative apparait , et avant qu'elle n'envahisse votre être entier, vous avez le temps de la changer ... Vous verrez les choses telles qu'elles sont, quelqu'un dans l'ignorance, la colère ..... mais pas vous !
    Laissez l'amour transformer votre vis à vis
    "JE TE SOUHAITE DU BONHEUR!"
    Essayez et vous verrez combien tout ce qui va changer dans votre vie. "
    Richard Gere

     


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  •  merci à celui qui m'a envoyé  ces blagounettes

     

    Humour
    1. Un homme entre dans une animalerie et demande
    312 cafards,8 souris et 4 rats.
    - Désolé, répond le marchand, mais je ne vends pas
    de cafards.
    Mais pourquoi voulez-vous toutes ces bestioles ?
    - Le propriétaire de mon logement m’a demandé de
    partir et de lui rendre l’appartement dans l’état où je
    l’avais trouvé.
    2. Une femme récemment divorcée discute avec une
    de ses amies qui lui demande :
    - Alors, tu songes à te remarier ?
    - Sûrement pas. J’ai déjà un chien, un chat et un
    perroquet.
    - D’accord , mais ça ne remplace pas un mari.
    - Oh ! si. Mon chien grogne en permanence, mon chat
    passe ses nuits dehors et mon perroquet répète
    toujours la même chose.
    3. Un fermier aperçoit un jeune garçon sur un de ses
    pommiers.
    Rouge de colère, il lui crie :
    - Descends de là tout de suite ou je vais aller le dire à
    ton père.
    Le garçon lève alors la tête vers les branches plus
    hautes et dit :
    - Papa, descends ! Il y a un monsieur en bas qui veut
    te parler.


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  •  Pour enrichir ma collection de boîtes aux lettres...

    J'espère que c'est aussi un lieu de rencontres

    et que, tout en ouvrant leur boîte aux lettres, chacun en profite pour prendre des nouvelles de ses voisins

    s'ils viennent  au même moment

     

     

     

     

     sur le blog de Renée : http://envie2.be/


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     Je découvre ce texte et il m'emplit dejoie...Qu'un chauffeur de taxi  puisse agir ainsi...quel bonheurJ

      

     
     

     

    L'Ame agit en Couleurs by Cynthia

     

     
    La course en taxi...
    Il y a vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie. Lorsque je suis arrivé à 2 h 30, l'immeuble était sombre, à l’exception d’une petite lumière provenant d’une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis. Mais, j'avais trop vu de gens démunis et qui n’avaient d’autre moyen de se voyager que les taxis. Je me suis donc dirigé vers la porte et j’ai cogné doucement.
    Après une longue pause, la porte s'est ouverte. Une dame âgée d’environ 80 ans se tenait devant moi et à ses côtés, une valise de nylon qu’elle avait péniblement traînée jusqu’à la porte. L'appartement était désert, comme si personne n'y avait vécu depuis des années.
    J'ai porté la valise jusqu'au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle ne cessait de me remercier pour ma gentillesse.
    « Ce n'est rien, lui ai-je répondu, j'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée... »
    — Oh, vous êtes le genre de bon garçon », m’a-t-elle dit alors.
    Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m'a donné une adresse, puis m’a demandé si je pouvais la conduire en ville.
    « Ce n'est pas le chemin le plus court », lui dis-je.
    — Oh, ça ne me dérange pas, je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice. Il ne me reste pas de famille et le docteur dit que je n'en ai pas pour longtemps. »
    J'ai tranquillement éteint le compteur et lui ai demandé quelle était la route qu’elle désirait que je prenne.
    Pendant les deux heures qui ont suivi, nous nous sommes promenés dans la ville. Elle m'a montré les édifices où elle avait travaillé, le quartier où elle et son mari avaient vécu, … Parfois, elle me demandait de ralentir en avant d'un immeuble particulier, comme pour se remémorer une tranche de vie.
    Puis nous nous sommes rendus à l'adresse qu'elle m'avait donnée. Deux infirmiers sont venus l’accueillir avec une chaise roulante. Elle a précautionneusement placé sa petite valise sur elle, comme si toute sa vie se résumait dans ces quelques vêtements et objets. Puis, elle m’a demandé combien elle me devait.
    « Rien, ai-je répondu.
    — Mais vous devez gagner votre vie.
    — Il y a d'autres passagers…
    Je me suis alors penché et l'ai serrée dans mes bras, lui offrant peut-être ainsi l’une des dernières étreintes de sa vie.
    « Vous venez de donner à une vieille femme un grand moment de bonheur. Merci. »
    Je lui ai serré la main, puis j'ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s'est refermée. C'était le son de la fermeture d'une vie.
    Incapable de parler et complètement perdu dans mes pensées, je n'ai pris aucun autre passager de la journée.
    « Que serait-il arrivé à cette femme si elle était tombée sur un chauffeur fâché, ou impatient de finir son quart de travail ? Et si j'avais refusé de prendre cette course, ou que j’étais reparti après avoir klaxonné une fois ? »
    Je me suis donc arrêté pour remercier la vie de m’avoir permis de vivre ce moment inoubliable. Ce n’est certes pas un événement qui fera la une des journaux; toutefois, dans le livre dans ma vie, il figurera parmi mes moments les plus heureux et les plus vrais. Merci Mme Chiasson !
    Les gens vont oublier ce que vous avez dit.
    Les gens vont oublier ce que vous avez fait.
    Mais jamais ils n’oublieront comment ils se sont sentis avec vous.

     


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