• Les soirées festives ne manquent pas ,en ce moment,par chez nous..Il y a quelque temps,dans la ville voisine,c'était une conférence sur le flamenco et puis un spectacle donné par la troupe SOLEA avec Maria Perez et Ana Perez...Quatre jours de festival dans notre petite ville,c'est une aubaine..avec des gens qui respirent la joie de vivre,de chanter,de danser...des lectures,des stages de danse,des rencontres...De quoi vous donner le désir de vous y  mettre vous aussi...Quel plaisir de l'entendre dire que l'on pouvait danser la sévillana même si l'on n'avait pas pris de cours..L'essentiel étant d'entrer dans le rythme..J'ai été séduite par leur simplicité et leur enthousiasme
    Beaucoup plus modeste,mais tout aussi sympathique,c'est chez nous qu'a eu lieu"la femme patchwork" avec Gelsy qui,un soir,nous a présenté ses chansons et ses textes devant un public de voisins et d'amis..certains n'étant pas des habitués des salles de spectacle mais là,c'était  tout près et chez l'habitant,alors c'était plus facile de franchir le pas...Nous avons terminé en chantant ensemble et en partageant mets et boissons...C'est la deuxième fois qu'elle vient et elle est déjà retenue pour l'an prochain...
    Ce sont ces bons moments qui permettent de mieux vivre le quotidien et d'ensoleiller la grisaille des jours.

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  • "Vous avez dans le coeur une chanson à chanter et une danse à danser.Mais la danse est invisible et le chant-vous ne l'avez pas encore entendu.Il est caché au plus profond de votre être.Il doit être amené à la surface,il doit être exprimé.C'est ce que signifie"la réalisation du soi"  OSHO


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  • Je suis venue vers toi...
    J'avais un tel besoin de parler,de raconter,de tenter de comprendre ce que je vis et qui m'étouffe...
    Après un bref regard sur moi,pâle et défaite,après un bonjour inaudible et une brève invitation à m'asseoir,tu t'es replongée dans ton livre...
    Je ne crois pas que tu le lisais vraiment mais il t'importait de me faire comprendre que mes jérémiades t'importaient peu...
    J'aurais dû ne pas t'importuner davantage et te quitter rapidement mais je n'arrivais pas à faire confiance à mon intuition...
    Ce n'était pas toi qui m'accueillais ainsi..Toi qui m'avais accueilli si chaleureusement lors de notre première rencontre...C'était un leurre...Ton attitude niait tout ce qui nous avait unis jusqu'alors...C'était un mauvais rêve...
    Et je m'étais assise,à tes côtés,espérant le miracle qui me permettrait de te retrouver telle que je croyais te connaître...
    Mais les minutes s'écoulaient et j'étais de plus en plus mal à l'aise et toi de plus en plus hautaine et indifférente...
    L'humiliation et la stupéfaction étaient si forts en moi que j'en étais paralysée...
    Je ne sais pas comment j'ai trouvé la force de me lever et de rentrer chez moi..
    .Je ne sais pas ce que j'ai fait ensuite...
    Je sais seulement que je ne t'ai plus jamais revue et que la seule évocation de ton nom réveille en moi une douleur aigüe.

    C'est un texte pour Papier Libre
    et le tableau est de Fantin- Latour  























                                                                                                     

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  • -Et sa femme,comment est -elle?
    -Oh,sa femme,c'est une chaise...totalement vide...
    Et voilà,en deux mots,le sort de la nouvelle mariée réglée irrémédiablement.De lui,l'homme écrivain,à l'allure prestigieuse,de lui les deux copines venaient de parler longuement,elles l'avaient examiné à la loupe et peut-être étaient-elles plus claivoyantes qu'il ne l'était lui-même à son sujet.Elles étaient d'une perspicacité implacable et malgré les termes un peu rêches dont elle le qualifiait,une certaine admiration subsistait,celui-là était leur égal même s'il ne leur agréait pas,il était du côté des gagnants,comme eles...Leur mépris allait plus sûrement vers la fille qui avait consenti à être la victime consentante de l'homme superbe dont elle devenait l'épouse,c'est à dire l'esclave dévouée,l'ombre fidèle qui sacrifierait sa propre vie pour que lui,l'homme puisse briller davantage..


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  • Agathe m'a taguée
    voici ce dont il s'agit:Attrapez le livre le plus proche
    Ouvrez le page 123
    Trouvez la cinquième phrase
    Recopiez-là aisi que les trois phrases suivantes
    Ensuite taguez  5 personnes
    Mon livre,c'est"le zen et l'art de tomber amoureux"de Brenda Shoshanna

    Pour que le texte ait un sens ,je suis partie de la sixième phrase

    "Il n'y a rien de pire que d'être avec quelqu'un que vous aimez et de se sentir seul"disaitMarsha après avoir partagé la vie de Doug pendant trois ans."Je l'aime,je ne veux pas le quitter,mais ces temps-ci,je me sens plus seule avec lui que quand je suis sans lui".Il est courant de croire que,quand onest proche de quelqu'un et que l'on s'entend bien avec lui,notre sensation de solitude s'évanouit.Du point de vue du zen,c'est une sensation tordue car,bien que cette sensation soit masquée par les moments où l'on se sent proche de son partenaire,elle n'a pas vraiment disparu et se manifestera de nouveau dès que les conditions changeront"

    Je tague  toutes les personnes qui auront envie de se prêter à ce jeu de hasard..C'est intéressant

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