•                                                                     le vaisseau fantôme

     

    Ségolène Mandy est née en 1946 à Lyon. Elle était psychologue mais désormais se consacre entièrement à la peinture et a fait de nombreuses expositions

    L'explosion des couleurs et les  horizons nous entraînent dans l'évasion

    La peinture à l'acrylique et à l'huile, la technique du couteau, du grattage etdel'effacement permettent de jouer avec les reflets, la structure et la lumière

    J'aime les couleurs de ce tableau qui nous emmènent dans un voyageimaginaire et peut-être mouvementé.

     

     

    Tableau du samedi


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  •  Tableau du samedi

    Sabrina BISARD est née à Aubagne, pays de Marcel Pagnol et du soleil. Son enfance entière est marquée par l’art. De griffonnage à main levée, cette autodidacte est bien née. Son père peintre paysagiste et son grand-père baignant dans le théâtre ne pouvaient que donner une fibre artistique à la descendance.
    « Mon approche artistique est avant tout picturale, ancrée dans l'émotion. Au-delà d'une recherche de profondeur des matières, j'essaye d'atteindre un certain équilibre dans la composition, avec des formes venant telles des vibrations, donner vie à l'ensemble. J'utilise des techniques mixtes, mêlant peintures, acryliques, pigments et feutres. Chacune de mes créations est un espace d'expression, de liberté, propice à l'imaginaire. J’aime commencer l’histoire d’une oeuvre et laisser le soin à celui qui la contemple, de la terminer... ».

    Elle habite Besayes dans la Drôme.

    Hier, j'ai vu quelques-unes de ses peintures au château de la Voulte

     

        Sabrina BISARD <em>(France)

     

     L’image contient peut-être : plein air

     histoires de femmes

     

     

     

     

    Sabrina Bisard, une artiste qui surprend.  Photo Joseph Monier


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  • Garouste

     

     

     

     

     

    Gérard Garouste : "Mes tableaux sont là pour poser des questions"

    "Mes tableaux sont là pour poser des questions" dit Gérard Garouste

     

    "La constante dans mon attitude, c’est l’idée du retour aux sources, aux mythes fondateurs. Qu’y a-t-il derrière ces mythes ? C’est ce que j’essaie de savoir", confiait le peintre au magazine Connaissance des Arts

     

     

    Gérard et Elizabeth Garouste exposent pour la première fois ensemble au Château de Hauterives dans la Drôme jusqu'à la fin du mois d'août.

    L'art brut est pour les Garouste une affaire de famille. Enfant, Gérard est envoyé par ses parents chez son oncle Casso en Bourgogne pour les vacances. Maçon, tailleur de pierre, bûcheron, coiffeur, Casso est un artiste qui s'ignore. C'est là que Garouste, grand peintre figuratif des mythes et allégories, pillier de la galerie Templon, nourrit son imaginaire et sa liberté de création. «Casso conservait les papiers argentés des paquets de gauloises, pour en tapisser les murs de sa maison. Dans son jardin, «les épouvantails étaient élaborés avec de grands mats pourvus de roues de vélo qui tournaient au gré des vents», se souvient-il. Casso aurait pu être un Gaston Chaissac, un facteur Cheval.

    Elizabeth Garouste, sa femme, designer émérite trouve aussi une liberté dans le dessin. Des personnages qu'elle griffonne instinctivement au gré d'instants perdus. Un œil, une tête puis un corps relié à des formes organiques composent des œuvres sur papier inédit. Au fil de sa carrière, alors qu'elle enchaîne les créations de mobilier, elle empile ses croquis mais ne les montre jamais. Puis, un jour ce travail mis en lumière par son mari, prend le chemin des galeries d'art brut.

    Il peignait, chantait, composait

    Et enfin, il y a David Rochline, le frère cadet d'Elizabeth, disparu en 2015. Il peignait, chantait, composait. Dans le fameux Palais du facteur Cheval, et dans le château de Hauterives, c'est toute la famille qui est réunie pour montrer des pièces rarement exposées. Quelque 80 pièces de Gérard et presque autant d'Elizabeth, ainsi que 25 œuvres de David. Sans oublier les travaux des enfants de La Source, l'association sociale et éducative fondée par Gérard Garouste.

    Ce «complot de famille» se tient à 40 minutes de Valence, sur les terres du fameux facteur Cheval qui a érigé son célèbre Palais idéal, devenu référence mondiale de l'art brut.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Passage

     

     

     l'éL'épreuve

     

     

    Nous avons vu cette exposition, ce foisonnement de formes, de couleurs...Nous n'avons pas toujours bien compris quel mythe le  peintre voulait  représenter et ce qu'il voulait signifier...mais c'était beau...

    Il y a 25 ans,Gérard Garouste a créé l'Association "La Source" destinée à aider des jeunes en difficulté...

    Là, ils peuvent travailler avec des artistes sélectionnés pour leurs qualités pédagogiques, artistiques accompagnés par des éducateurs et des animateurs

    Et dans l'exposition, il y a des oeuvres de ces jeunes qui sont exposés

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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     " des corps et des fruits

    Saly Mollon est un peintre au langage plastique riche et complet, allant de l'abstraction au réalisme qui sait articuler puissamment  l'une et l'autre dans la même oeuvre...

    ardente et vibrante, généreuse, immédiatement parlante, sa peinture doit beaucoup à l'impressionisme, mais un impressionisme vigoureux, coloré, épanoui, totalement exempt de morbidité, ,un expressionisme de la vie."

                                                                Jean Pierre Piat

     

    Sous la pluie

     

     

                                                                                 Conversation

    Ce que je ressens devant ces tableaux, c'est beaucoup de vie et de vigueur

    et j'aime l'harmonie des couleurs

     

     

    PomPomPom


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  • Henri Fantin-Latour - By the Table - Google Art Project.jpg

     

     

    Henri Fantin-Latour, <i>Un coin de table</i>

    "Un coin de table" 1872

    à gauche Rimbaud et Verlaine

     

    Henri Fantin-Latour apprend les bases avec son père, lui-même peintre, puis passe sa vie au Louvre où ses copies des maîtres italiens du XVI e siècle, « qu'il vend plutôt bien, seront son premier moyen de subsistance », raconte le conservateur. Le refus de ses premiers envois au Salon en 1859 le pousse à accepter l'invitation d'un ami à Londres.

    « Il sort du cocon familial bourgeois, rencontre le couple Edwards qui devient son marchand et sa carrière s'enclenche » raconte Guy Tosatto. « Il va se spécialiser dans les natures mortes de fleurs, à son corps défendant d'ailleurs, mais c'est ce qu'on lui réclame et ce qui le fait vivre ».

    Il va donc « s'astreindre à transcender le genre, relevant le défi de les restituer dans leur dimension vivante et de rendre le terme de "nature morte" inapproprié ». Jusqu'à devenir « le plus grand peintre de fleurs du XIXe e siècle », célèbre pour ses bouquets et compositions, comme celle qu'il offrira à sa fiancée Victoria Dubourg, peintre comme lui et rencontrée… au Louvre.

    Fantin-Latour, c'est aussi, comme en attestent ses tout premiers autoportraits de jeunesse, l'art de rendre les visages. Et pour s'approcher de ses maîtres, il veut faire de « grandes toiles ».

    C'est un des plus grands poètes grenoblois.

    Actuellement, la ville de Grenoble présente une exposition de 150 de ses oeuvres

    Nous avons eu beaucoup de plaisir à la visiter,il y a déjà quelque temps

     


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