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    le livre d'or pour échanger

     

     

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-2M7SkMZtPU

     

     

     

     

    Née à Paris le 27 juillet 1923

    fille de marin, elle passe son enfance au Croisic,

    la mer est présente partout même dans ses peintures les moins figuratives.

     

    Mère de Matthieu Ricard et nonne bouddhiste,

    peintre aquarelliste et peintre de costumes,

    sa vie est jalonnée de merveilleuses rencontres : Gurdjieff, Kanavour Rimpoché

    "C'est à ce moment-là, dit-elle , que ma vie a commencé"

     

     

    "Je me donne à la joie de ce qui sort de moi, je ne sais pas ce que je peins, je ne vois rien , il y a un tableau qui sort. Tout ce que je peux vous dire, c'est que je suis surprise par la lumière qui vient...

    J'enlève la peinture pour arriver à la lumière. C'est surprenant de s'apercevoir que l'on est lumière soi-même.."

     

     

     

     

     

     

    '...

     


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  • Un peintre nantais...        https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=P-ORJ8jKfT8

     

     Cette vidéo vous montrera et vous commentera le tableau " Les enfants à la crèche"

    qui est l'un des derniers  grands tableaux à l'huile de Albert Anker, il l'a peint en 1900

     

    Albert Anker 01

     C'est en lisant le blog de Alain  Gautron  : http://alain.apln-blog.fr/

    que j'ai découvert le nom et un tableau de ce peintre

     

     

    Peintre suisse, né à Anet, il fait ses études à  Châtelroi puis à Berne.  Il convainc ensuite son père  qu'il veut être artiste et il se rend

     alors à Paris, où il devient l'élève de Charles Gleyre, chez qui Pierre-Auguste Renoir étudie aussi, dès 1862. Puis, entre 1855 et 1860, il suit les cours de l'École nationale supérieure des beaux-arts. Il installe ensuite un studio dans la maison de ses parents et participe régulièrement à des expositions en Suisse et à Paris

    Anker épouse, en 1864, Anna Rüfli de Langnau. Le couple a six enfants dont deux meurent très jeunes, les quatre autres Louise, Marie, Maurice et Cécile apparaissent dans certaines de ses peintures. En 1866, Albert Anker commence à faire des projets pour le céramiste Théodore Deck ; au fil des ans, il va réaliser plus de 300 dessins pour des faïences. La même année, il reçoit la médaille d'or du Salon de Paris pour Schlafendes Mädchen im Walde (1865) et Schreibunterricht (1865)1. La famille Anker passe généralement l'hiver à Paris et l'été à Anet.

    Entre 1870 et 1874, il est élu député au Grand Conseil du canton de Berne, où il soutient la construction du Musée des Beaux-arts2. Anker voyage beaucoup, il se rend à Bruxelles, Anvers, Gand, Lille, passe l'hiver 1883-1884 à l'Académie Colarossi où il réalise des aquarelles, puis part pour l'Italie.

    Anker est membre de la Commission fédérale des beaux-arts, une première fois de 1889 à 1893, puis de 1895 à 1898.

     

     


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    "Robert Duncan est né dans l'Utah en 1952 et a commencé à peindre à l'âge de onze ans. Il passe ses étés dans le ranch de ses grands-parents dans le Wyoming où sa grand-mère l'initie à la peinture. Il est vite conquis par cette nature magnifique et ses espaces infinis. Le mode de vie rural et les paysages deviendront ses principales sources d'inspiration.

     

    « J'ai décidé de peindre les choses que j’aimais le plus. Cette décision m'a apporté beaucoup de joie et de satisfaction et je suis particulièrement heureux que ma famille ait été une partie importante de tout cela. »

     

    Robert Duncan a étudié à l'Université de l'Utah. Son éducation artistique passe par le Canada, la France, la Suède et l'Espagne. Le peintre équestre anglais Alfred Munnings (1878-1959) a beaucoup influencé son œuvre tant par l’inspiration que par le style.

     

     

    Munnings1

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    THE CENTER OF ATTENTION

     

     

     

     


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  •  * Participations du 27 au 30 décembre au Tableau du Samed...

     

    Brigitte Nêmes, 46 ans est autiste depuis son enfance et a pu se révéler à travers la peinture.

    Bernard Vandewiele s'occupe de l'artiste depuis plus de trente ans :   «les titres que Brigitte donne à ses tableaux maintenant font références au regard des gens. On voit que les expositions lui font du bien, d'ailleurs quand il n'y en a pas elle en réclame.»

    Brigitte Nêmes poursuit donc son chemin dans la peinture et Bernard Vandewiele avec elle : «c'est sûr que j'ai un regard subjectif sur son travail mais il faut avant tout que les gens apprécient sa peinture pour ce qu'elle est et pas la personne handicapée qu'il y a derrière.»

     

     

     



     


    La peinture de Brigitte ou le voyage de la colère

    “Brigitte, c'est son prénom et sa signature de peintre.
    Le premier quart de sa vie fut fait d'hospitalisations successives, d'abord pour des problèmes
    de maladie physique, et bientôt pour des problèmes psychiques.
    Dans ce cas, les psychiatres parlent d' hospitalisme :
    on n'avait pas encore dans les années soixante, pris la mesure
    du fait qu'un enfant a besoin pour se développer
    d'amour autant que de soins corporels.                                        

     Privée de sa famille - petits paysans du Bas-Dauphiné
    qui ne surent ou ne purent faire face à la situation -
    Brigitte bientôt fut déclarée autiste.
    Devant elle s'ouvrait une vie entière en institution psychiatrique.
    Vint le miracle d'une rencontre : un infirmier
    l'accueillit chez lui, pour s'en occuper comme famille d'accueil.
    Dès lors, Brigitte jusque-là mutique vint à la parole ; 

    jusque là incapable de la moindre autonomie, apprit l'hygiène et les gestes du quotidien;

    jusque là hord du monde, fut inscrite à l'école.

    Elle avait  dix ans, elle apprit à lire, à écrire avec une institutrice admirable.

                        
    Résultat de recherche d'images pour "brigitte nêmes"
     
    Elle apprit à fréquenter les autres.
    L'adolescence fut terrible, avec de féroces régressions
    dans l'automutilation : Brigitte se mordait
    les mains, les bras, les épaules...
    Cela dura longtemps, éprouvant l'entourage.
    Sans doute s'assurant, se rassurant, progressivement,
    qu'elle ne vivrait pas une deuxième fois
    ce qu'elle avait enfant vécu comme abandon,
    Brigitte peu à peu s'apaisa.
    Mais les morsures ne cessèrent vraiment
    qu'il y a une dizaine d'années,
    lorsque plutôt que de faire sur son corps les signes de sa souffrance,
    Brigitte se mit à peindre, et comment !
    Bientôt son entourage organisa une première exposition.
    C'était fin 1996. Depuis, il y en a eu plusieurs dizaines.
    Elle a même exposé l'an dernier au plus important
    des salons parisiens d'art abstrait.
    Un film témoigne de son travail.
    Art abstrait ? Art brut ? En tout cas de l'art,
    c'est-à-dire une recherche de quelque chose de vital.
    Brigitte ne peint pas pour faire joli,
    elle peint parce qu'elle ne peut pas faire autrement,
    pour faire face aux émotions qui la débordent,
    à ses angoisses, à sa nuit intime.
    Son aventure en peinture, c'est le voyage de la colère,
    comme elle a appelé un tableau de ses débuts
    C'est pourquoi elle nous touche au plus profond de nous-mêmes.
    Bernard Vandewiele, psychanalyste, tuteur de Brigitte, octobre 2005

     

    Artiste handicapé(e) mental(e) ?

    “La main dans le chapeau : tel est le sens premier du mot handicap, à en croire ceux qui s'amusent à chercher l'origine des mots.
    La main dans le chapeau : pour peindre ce n'est pas pratique, sauf si celui/celle à qui cette main appartient, travaille aussi du chapeau, ce qui alors serait plutôt quelque chose comme un coup de main pour l'artiste.
    Un coup de main au double sens que ça a : une aide, un style. Car tous ceux qui travaillent et du chapeau et du pinceau en atteste
    nt : Le style, c'est l'homme même.
    Le style, et pas la technique, qui serait plutôt du côté de la machine.
    Il en est qui parlent d'art brut. Pléonasme. Parce que l'art est toujours brut. Bien sûr que peut s'y ajouter une inscription dans l'histoire, dans le mouvement social (à son avant-garde, tant qu'à faire), au travers d'une école ou d'un compagnonnage quelconque. Mais sa force émotionnelle, l'oeuvre ne la tient pas des canons d'une quelconque esthétique. L'art surgit de l'abîme sur lequel nous faisons mine de danser. Il nous parle le langage de l'ombre, au dos du miroir. Tout le reste, l'imagerie, c'est du surplus, histoire de bavarder, de faire comme si.
    Alors, ici, on n'est pas au patronage, et les belles âmes sont priées d'aller ailleurs éponger leurs bons sentiments. Ici se montre de l'art, c'est-à-dire ce qu'on ne peut pas faire autrement qu'on ne le fait quand on a le dos au mur de sa folie. Et forcément, tout un chacun en est touché : au coeur, au ventre, à l'estomac. Partout où ça résonne sans raisonner.
    Alors, handicapé(e) mental(e), toi qui fais du vélo avec les mains, mais sans vélo, Chapeau !”
    Bernard Vandewiele, décembre 2002

     

    L'œuvre de Brigitte NEMES, artiste autiste, oscille entre joie simple et peine imprévisible. Cette peinture méthodique et obstinée, entre enfantillage et enfantement, est une interrogation sans réponse. Brigitte NEMES peint son histoire, "les hauts et les bas" quotidiens, violents et gais. Elle restitue une sorte de langage oublié, une autre manière de dire. Par ces images, nous pénétrons dans les contrées d'un monde intérieur dont nous sommes pourtant coupés. Notre questionnement incessant n'empêche pas ce monde de nous échapper. Nos idées, nos conventions pourtant héritées de notre apprentissage de la communication sont ici bousculées. Il existe dans cette création une pureté, une naïveté confondante qui fait naître une question entêtante, "est-ce cela que l'on appelle l'enfance de l'Art?".

    JLD

     

    Brigitte NEMES c/o B. VANDEWIELE
    22, Rue Pêcherie
    26100 ROMANS
    Tél. 04 75 02 57 04

     

    C'est en allant déposer des livres à la médiathèque de Bourg les Valence que j'ai découvert cette artiste.

    Une dizaine de ses tableaux était joliment exposés dans le hall d'entrée.

    Je la découvre donc presque en même temps que vous.

     

     

     


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  • Pour le tableau du samedi

     

    "Seuls les liens que nous tissons permettent d'accéder à la conscience d'être.

    C'est l'appartenance à une communauté humaine qui nous rend véritablement humains."  Albert Jacquard

     

    Rêves amazoniens

    De passage à Montélimar, nous avons visité l'exposition "Rêves amazoniens"

    Cette exposition présente les oeuvres de l'école d'art NYI au Pérou;

    Elle nous permet ded découvrir une autre vision de la Nature et de l'Homme, celle des indiens Cocama.

    Une Nature peuplée d'esprits avec lesquels les guérisseurs se connectent;

    Une vision de l'Homme où les rêves et la création sont des éléments essentiels de la connaissance de soi.

     

    Rêves amazoniens

    C'est Emilie Longin, historienne de l'art et enseignante en arts plastiques qui est à l'origine de cette exposition;

    Elle s'est engagée comme volontaire, pendant un an, pour coordonner des ateliers de street-art et réaliser une grande fresque sur la mémoire et l'identité de ces "Peuples de le Forêt".

    Le projet "Street Art Amazonia Esperanza" débutera en mai 2015 dans l'école Nyi au Pérou et se poursuivra dans d'autres communautés d'Amazonie.

     

     

    Rêves amazoniens

     

    Dans leurs peintures, les artistes nous racontent les liens qu'ils entretiennent avec la communauté du Vivant, air, eau, pierre,faune,flore et toutes les forces du monde invisible.

     

     

    Rêves amazoniens

    voici les noms des artistes:

    Casilda Pinche Sanchez, Guache, Samy Padla ruiznMacuyama, Luis Beltran, Nelvis Manuel ;Jaiver Cabrera Steve Melendez,Hoka

     

     

     

    Rêves amazoniens

     

     

    Au coeur de la forêt amazonienne, Nyi est une école d'art créée en 2003 dans le village de Puerto Miguel...elle permet à la communauté Cocama de réinterroger son identité, revaloriser ses racines culturelles , et témoigner de son savoir sur la Forêt à travers la peinture. elle poursuit un renouveau de l'expression plastique liée à la tradition des peuples d'Amazonie

     

     

    Rêves amazoniens


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