• http://www.youtube.com/v/MhAXmPmTvqw

     

    C'est avec cette vidéo de Marc Vella (cliquer sur le lien ci-dessus) que j'ai envie de terminer cette année

    et de commencer la nouvelle qui pointe son nez et que je veux voir comme un immense champ de possibles.

     

     

                                                         Joyeuse année !

     

    Je vous souhaite de tout voir avec un regard neuf.

    C'est notre regard qui peut tout embellir et ainsi dissiper la froideur mélancolique de l'hiver et tout envelopper de tendresseimg033

                                                                           Cathelin


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  • gougaud-henri-lenfant-de-la-neige.jpg 

     

     

    L'enfant de la neige

    C'est un conte, un récit initiatique...nimbé de poésie...

    Cela se passe au Moyen Age, mais qu'importe!

    C'est de nous que Henri Gougaud nous parle : nous, êtres humains qui portons en nous-même le ciel et l'enfer,

    nous toujours semblables, quelque soit l'époque, capables de nous laisser piéger par les mots comme le prieur inquisiteur de cette abbaye qui, en son jeune temps, a fait périr des êtres humains parce qu'il croyait servir la cause de Dieu... et qui, par la suite, va tenter d'aider les plus miséreux...

    Par une curieuse coïncidence, j'ai lu, ces temps-ci, plusieurs livres mettant en évidence la duplicité de l'être humain :  "Limonov"..."Le silence du bourreau"....

    Inutile de chercher une tête de turc, de se protéger en s'imaginant que le mal est chez l'autre...C'est à chacun d enous à combattre le mal qui est en lui

     

    Voici quelques citations :   "Aussi longue que soit la nuit, à la fin il faut toujours naître"

     

    "Ce soir, à la nuit, nous réveillerons la musique. tout est en elle, tout , Jaufré! L'amitié de dieu, l'amour pur et la défaite des questions; Retiens cela, c'est l'essentiel...quand on se donne au chant d'un luth, ou d'une flûte, ou d'une voix, on connaît le fin mot du monde, sans avoir rien à demander;"

     

    "Quand nous viendra la vérité, nous la regarderons de face, et nous la verrons comme elle est ,forcément moins abominable qu'elle nous apparaît aujourd'hui."

     

    "Il faut que ta route ait du coeur. Ton rêve, ton étoile, ne les oublie jamais ! alors tu pourras côtoyer le plus pervers des précipices, tu ne tomberas pas dedans."

     

    "Je ne me suis pas méfié de la malignité des mots. Il est simple de s'enfermer dans une prison d eparoles. Il suffit que soit admiré le grand homme qui nous les dit; Tout s'ordonne, alors, comme il veut. nous faisons nôtres, ses désirs, nous dressons nous-mêmes les murs qui nous séparent de nos âmes... Je n'avais que grandeur en tête, service, pureté, vertu."

     

    Avec Henri Gougaud, on apprend à savoir déceler la beauté au milieu de l'effroyable.

     


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  • Un médecin à son patient:   
    "Le soir, avant de vous coucher, laissez vos soucis au pied de votre lit" 
    - "Mais je ne peux pas Docteur", répond le patient... 
    "...Ma femme n'acceptera jamais de dormir par terre!"

     

     

    Je vous donne l'historiette telle qu'on me l'a racontée mais il est évident  que la femme pourrait répondre de la même façon si cette question lui était posée


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  •  

    mars-2009-051.jpg

    "Maisons

    qui nous protègent

    des orages du temps

    et des tornades de l'âme

    ancres ou geôles

    sauvegarde ou verrous

     

    Gardiennes de la flamme

    ou saccages d'étoiles

    source et lueur

    ou rêve anéanti"

     

                             Andrée Chédid

     

     

     

    Je lis ce poème et me revient le rêve de la nuit...

    nous sommes dans une maison,..il n'y a pas de barreaux, pas de cadenas, pas de gardiens

    et pourtant nous ne pouvons pas sortir, peut-être l'idée ne nous vient-elle pas à l'esprit

    et pourtant la situation est stressante, infernale même...nous devons ...tuer...je ne sais qui...

    je ne vois pas leur visage...mais il faut les éliminer

    Un jour arrivent les chefs

    ils nous appellent un à un et celui qui est appelé  est tué

    nous attendons notre tour

    mais, à un moment, ils s'en vont

    nous sommes épargnés, nous ne savons pas pourquoi,nous ne savons pas s'ils reviendront...

    Alors je décide de partir...Enfin !

     

    Mais pourquoi donc ne me suis-je pas échappée avant ?


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  • AUTOUR-DE-MON-VILLAGE-Le-22-ao--t2007-003.jpg

     

     

                    Une petite pause

              

                              A bientôt

     

    Le poème de Verlaine mis dans le dernier article me plaît tellement que je n'ai pas envie d'ajouter autre chose                          


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