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Elle et lui,encore!
L'a-t-elle trouvé dans une pochette surprise?
A-t-elle fait le bon choix?
Elle ne sait. La seule chose certaine, c'est qu'il n'est pas ordinaire...
Va-t-elle continuer à se mettre les nerfs à vif à cause des mille petites tracasseries dont il émaille leur vie quotidienne?
Ou va-telle considérer qu'il lui appartient de savoir ce qu'elle veut et de s'y tenir tout en lui souriant gentiment s'il croit l'en empêcher;
Et s'il a besoin de tout contrôler, pourquoi ne pas le laisser faire sans changer d'un iota ce qu'elle croit juste et bon pour elle...pour eux ?
Pourquoi ne pas lui dire calmement : je pense faire de toi un roman et je te remercie d'être là pour me donner matière à écrire...Tu comprends : dans ma tête, ça s'est remis à écrire...et je n'ai qu'à retranscrire les phrases que je découvre inscrites en moi...Je ne suis plus seule, puisque je suis visitée...Il suffit d'être disponible et d'accueillir..Un grand vent a ouvert ma porte et comme cela est bon !
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Commentaires
Ne vient on pas toutes et tous d'une pochette surprise à un moment ?
Ne nous est il pas donné le libre arbitre ?
Alors, qu'Elle vive. Et qu'il cache la lumière s'il préfère l'ombre. Nous pouvons le comprendre sans pour autant vivre à la cave.
Puisse t Elle passer une bonne journée inscrite qu'Elle est dans ma pensée.Je pense de toi faire un roman ! C'est une façon d'accepter et de mettre en mots les épreuves de la vie... C'est sûrement une force !j'aime cette idée d'un partage par des lignes transcrites en soi et qu'on laisse voir à l'autre, être visitée c'est une image étrange qui me plaît, bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzz"je pense faire de toi un roman"
Voici une phrase qui me plonge dans la perplexité.....
ce roman, c'est vrai, nous l'écrivons tous dans notre tête
ce roman de notre confrontation avec l'autre
quelques uns l'écrivent.Je crois qu'il y a toujours une muse qui s'affirme au fil des rencontres...
La citation de Mozart mentionnée dans l'un des commentaires sonne très juste ;-)
ah ces tracasseries qui finissent par user... je crois qu'on les connaît toutes, je parle au féminin car il me semble que l'exigence des femmes est plus grande et s'accommode donc plus mal de ces mille petits défauts qui en s'accumulant peuvent nous exaspérer...
qu'en penses-tu, qu'en pensez-vous ?
vieux débat !Il est là puisqu’il a ouvert la porte. Alors tu l’écoutes et c’est bien si tu prends un peu de lui pour marche pieds de l’inspiration.
La rencontre est une belle chose qui se chante ! Avec amitié. Loic
un grand vent ... froufrrrou ! comme le soufflet sur la flamme qu'il attise en l'embras(s)antl'envie d'écrire doit être comme l'envie de peindre je suppose, alors je comprends.un roman de ce que l'on vit ou de ce que les autres vivent autour de nous, c'est juste pour approfondir la réalité pour la rendre plus belle, pour illuminer ceux dont on parle...En quoi cela te laisse-t-il perplexe?quel courage de partir travailler en vélo alors qu'il fait si froid !non, pas vraiment perplexe !
j'ai dit une bêtise
ce que tu dis là ne suppose pas que pour toi l'autre n'est qu'un roman !
il peut permettre de devenir le thème d'un roman, mais il est évidemment plus que ça.
J'ai fait semblant d'en douter, mais c'était pour te taquiner.
Scuse !"Je ne suis plus seule puisque je suis visitée"...Quelle phrase extraordinaire.
Bonne fin de soirée, Gazou.Laisse toi emporter, laisse toi t'exprimer, laisse toi t'enthousiasmer, je connais ça. C'est grisant!!!!!!!!!!!!!!!!!!Lâcher prise est une bonne chose. Un merci d'être là et c'est la 'vie' qui s'écrit en nous. Qu'on le prenne en écriture, ce souffle est bon à accueillir. Et comme çà fait du bien !Eh bien bonne écriture....à quand la sortie du roman ?Sourire... J'aime bien l'idée d'un roman, et j'aime bien surtout la façon dont tu as décidé d'appréhender ta vie.
Merci, Gazou.20ZilbermanMardi 2 Juillet 2013 à 16:50Solange, ta révélation révèle combien nous sommes aveugles sur nous mêmes et sur notre environnement. Or la richesse (notre capacité à nous émerveiller...) elle est là très proche, très très proche...Ta révélation, c'est comme un accouchement, l'accouchement pour une création...Ta porte s'ouvre sur un paysage riche en découvertes... Gérard21catherine2Mardi 2 Juillet 2013 à 16:50belle idée que de se mettre dans la position de l'observateur lucide qui écoute et retranscrit ce que la présence de l'autre exprime
petit vent glacial qui faisait tanguer mon vélo ce matin..22lenez o ventMardi 2 Juillet 2013 à 16:5023MaryseMardi 2 Juillet 2013 à 16:50Oui Colette, nous sommes plus sensibles aux petites(!) tracasseries nous les femmes.
Car on prend beaucoup des autres avec nous, dans nous.
Faire un roman de l'autre, ce serait ce qu'on ait fait de mieux. A jeter le premier mot ... Et la suite jaillira! Il suffit juste de le vouloir!
Bisous Gazou.
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Mozart disait la même chose, il retranscrivait ce qui etait déjà accompli dans sa tête.