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Un état de beauté
"Comme lorsqu'on laisse la fenêtre ouverte et que l'air entre à sa guise,la méditation, c'est tout ce que l'air apporte, c'est tout ce qu'est le vent. Mais si vous êtes aux aguets, si vous attendez que le vent s'engouffre par la fenêtre parce que vous l'avez ouverte, jamais le vent ne viendra. Il faut qu'elle soit ouverte par amour, par affection en toute liberté et pas dans l'attente de quelque chose. Et voilà ce qu'est cet état de beauté, cet état de l'esprit qui voit mais ne demande rien" Khrisnamurti
Cette pensée, je la retrouve régulièrement et avec bonheur chaque fois que je vais sur le blog d'Emmanuel...Il a décidé de fermer son blog..dommage! Mais quelquefois, il faut savoir fermer une porte pour pouvoir en ouvrir une autre et le blog n'est qu'un passage pour aller ailleurs....Bonne route Emmanuel et merci pour cette citation qui décrit si bien cet état d'attention et de disponibilité qui nous permet d'accueillir ce qui vient , de nous en enrichir et de ne plus être dans une attente qui génère bien des déceptions..
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Commentaires
J'aime beaucoup ce penseur.
Je le lis en ce moment et essaie de m'imprégner de ses idéaux, sources de bonheur et de quiétude. Et puis, il me relie à l'Inde...
Belle journée, Gazou.
savoir fermer une porte, c'est très difficile et toujours une joie de voir quand quelqu'un y arrive,
merci de ton article
bises de rejane
Ce texte apporte un grand et nouveau souffle. J'aime beaucoup aussi. C'est respirant. Sans le souffle pas de vie. Esprit et respir viennent d'un même Lieu.
Belle journée pleine de soleil et de grand Souffle!
ëtre ouverte au devenir oui je crois l'être ne rien attendre...je ne suis pas au point ! la bât blesse à ce niveau là ....persévérance... Bises Gazou
Bonsoir Gazou,
J'ai du mal à suivre Krishna dans ce domaine là, beaucoup trop matérialiste pour me détacher des biens de ce monde ! Etre ouvert aux autres ne suffit pas, car il est difficile de ne jamais rien demander en échange, ne serait ce qu'un peu d'attention ou de reconnaissance.
Bises du grillon
Oui, la forme d’expression n’est parfois qu’une réponse à un besoin momentané. L’expression emprunte plusieurs routes, comme la vie dont elle est un reflet. Avec amitié. Loic
Un très beau texte. Plus que le contenu. la forme est plaisante.
j'en profite pour te mettre une pub.. lol
Ne pouvant plus surmonter les tendances suicidaires répétitives, la narratrice consulte un psychiatr...e psychothérapeute, le docteur V., sur recommandation du docteur B., son médecin traitant. Elle est en proie à un étrange sentiment vis-à-vis de madame F.C., psychologue psychanalyste avec laquelle elle avait suivi une psychothérapie psychanalytique douze ans plus tôt, pendant cinq ans. Pourquoi la narratrice ressent-elle une telle dépendance envers cette psychologue psychanalyste et éprouve-t-elle le besoin constant de la contacter à travers de longues et régulières lettres ?
Les psychothérapies analytiques entreprises quand elle avait trente et un ans et achevées à quarante ans, qu’elle croit effacées de sa mémoire, vont-elles ressurgir au cours de la nouvelle psychothérapie ? La narratrice ne va-t-elle pas découvrir l’horreur enfouie dans une partie d’elle-même ? En comprendra-t-elle les conséquences terrifiantes sur sa vie et celle de son entourage ? Le docteur V., psychiatre psychothérapeute, pourra-t-il enrayer les effets néfastes, toujours actuels, de ces anciennes psychothérapies analytiques, pourtant entreprises avec les soi-disant meilleurs thérapeutes de Paris ? Ce récit composé de lettres et d’extraits de journaux intimes, respecte la chronologie des découvertes et des événements survenus tout au long de cette nouvelle psychothérapie.Afficher davantagePar :Mon Petit Editeurje suis sur le point de partir en vacances et je vais continuer à regarder mes e-mails donc je verrais tout ce que mes amis bloggueurs m'envoient mais je ne pourrai laisser un commentaire chaque jour.
De temps en temps, je ferai un petit coucou
bises et à bientôt
J'imagine qu'à un moment donné on a fait le tour et qu'il faut passer à autre chose. C'est dommage parce que c'est comme perdre un ami.
J'aurais dû en parler plus tôt quand il était encore ouvert et que l'on pouvait mettre des commentaires
je suis bien d'accord avec toi, je rêve de cet état idéal, de cet amour pur qui aime et ne demande rien..mais quand même on a besoin d'être accueilli...il nous faut un minimum d'échange
Comme je suis triste : je découvre par toi ce site (ami de Kri..)
le jour où il ferme !
j'espère que tu nous en parleras
merci pour ce billet qui inspire le nécessaire détachement en toute chose...
si bien écrit...
doux bisous à toi
et un tag, mains ouvertes
merci de me répondre, cela me fait très plaisir..J'ai craint de n'avoir plus de traces de toi..
As-tu vu le commentaire de Kasimir(il est dans mes liens)..il se désole de n'avoir eu connaissance de ton blog qu'au moment où tu le fermes..car il aime bien Khrisnamurti...
Bon dimanche, Emmanuel!
20nicole 86Mardi 2 Juillet 2013 à 16:44Merci Gazou de m'voir permiis de découvrir ce blog que je ne connaissais pas. Cette définition est très proche de celle de l'oraison contemplative chrétienne.21catherine2Mardi 2 Juillet 2013 à 16:4422Eric lMardi 2 Juillet 2013 à 16:44Ce matin, j’ai lu ton blog. Cet après-midi, lors d’une promenade, j'ai souvent pensé à ce sujet, mais maintenant c’est difficile de ranger. Il fait chaud et puis l’esprit n’est pas si bon. Cependant, pourqoui fermer une porte ? Il est quelque chose de définitif (binaire: fermer (0) - ouvert (1)). Pourquoi ne pas laisser une fissure (analogique: nombre infini de possibilités - ∞) ? Puis, l’air peut entrer à sa guise !
Gazou, bonne santé et bois une boisson fraiche pour se rafraîchir. Eric.
23belle histoire penleMardi 2 Juillet 2013 à 16:4424EmmanuelMardi 2 Juillet 2013 à 16:44Chère Gazou,
Merci. J'ai fermé en effet mon dernier blog en écrivant que cela était définitif ; je devrais savoir pourtant que rien ne peut me permettre de dire cela. Mais cette "fermeture", définitive ou non, ne m'empêche pas de venir vous lire mes Amis, de venir te lire, et ne m'empêchera pas de laisser un petit mot comme cette nuit si j'en ressens l'envie.
Par rapport à cette citation de Krishnamurti, je dirai: Accueillir, s'ouvrir à ce qui est, à ce qui nous traverse, à ce qui chaque instant nous est donné qu'elle qu'en soit la nature, et comme dirait l'Ami Frédéric, "malgré tous les malgré". Sans peur, sans projection de l'idée que nous avons de la perfection sur la réalité qui nous est donnée de vivre. Oui, voir ce qui est et l'accueillir.
S'abandonner à la vie, à ce souffle de vie, en nous et hors de nous. Avec la conviction comme dirait Jac O'Keeffe que nous sommes indépendemment des événements, de l'amour que d'autres nous donnent ou pas, aimable et tout à fait capable.
S'il est une action, à notre mesure à mettre en place dans ce monde, s'il est des paroles à prononcer, dans ce regard dans la vie, dans cet accueil de la vie, cela s'impose à nous et se produit. Nous ne sommes qu'un instrument de la Vie, par lequel elle s'exprime.
Et qu'importe si nous nous laissons encore emporter à certains moments par de vieilles habitudes, par notre manière machinale, restreinte et passée de vivre. Continuer avec application à tendre vers cela le plus naturellement possible, avec un regard aimant sur ce que nous nous disons sur nous-même et le monde, sans jugement.
Je t'embrasse
A bientôt te lire
p.s. : dans cet abandon à la vie, sans avidité, tout nous est donné
25EmmanuelMardi 2 Juillet 2013 à 16:44Oui, j'ai vu le commentaire de Kasimir. Mais je ne suis pas un expert de la pensée de Krishnamurti.
Krishnamurti est important pour moi en ce qu'il m'a éveillé au regard, à la compréhension de la "méditation", par l'intermédiaire de mon amie qui me l'a fait rencontrer dans ses textes et ses vidéos, dans ce qu'elle en avait compris et qu'elle incarnait. Je leur suis reconnaissant à tous deux. Mais dans mes blogs, il n'y avait pas que la pensée de Krishnamurti, cela ne représente qu'une petite part, tant d'autres auteurs que j'ai découvert ici ou là, qui m'ont apporté dans la mesure de ma compréhension : Tolle, Desjardins, O'Keeffe,...
Et vos commentaires ou vos silences qui ont été tout aussi importants pour moi.
Et cela se poursuit et je découvre d'autres auteurs, et je continue, à me découvrir dans la vie, à vous écouter parler de la vôtre, à y "réagir" parfois.
Je t'embrasse, bon dimanche.
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Bonne route à lui... fermer une fenêtre pour peut-être en ouvrir une autre ou simplement faire autre chose.
Merci, Gazou.