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Rêves
"Je rêve
Que je suis éveillé
Je rêve
Que je me regarde
Dormir
Je rêve
Que je suis éveillé
Et que je me regarde
Rêver
Je rêve
Que je rêve
Que je suis éveillé
Et que je me regarde
Dormir..."................
par tilk publié dans : ma vie sans moi
Je lis ce texte que Tilk a intitulé "cauchemar" et voici ce qui me vient en écho
Je rêveet je me réveilledans le noir absolu .
un grand vide dans ma tête.Pas un rêve à l'horizon,tous envolés,désintégrés.je suis dépouillée,desorientée,démunie,sans même une bribeà me mettre sous la dent.
On m'a tout volé.Je suis réveilléeet je rêve
et mes rêves continuent à s'envoler
sans laisser aucune empreinte.
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Commentaires
1QuichottineVendredi 22 Février 2008 à 08:10Ces deux poèmes en écho sont splendides. Merci.Répondre"car d'où sait-on que les pensées qui viennent en rêve sont plutôt fausses que les autres, vu que souvent elles ne sont pas moins vives et expresses?" DescartesLe rêve est pour moi une pensée inconsciente !!! j'adooore rêver, d'ailleurs, je n'ai pas vraiment l'impression de vivre ! rires. GhislainJ'aime tant la musique des mots de Tilk ... en lisant Jung, il parle des rêves à décrypter .. moi aussi, j'en fais qui s'envolent dès mon réveil ... pas grave, ils étaient là j'en suis sûre et m'aident à vivre c'est sûr ... bisous grisousc'est vraiment bizzard, cette sensation d'avoir fait un rêve, et de ne pas réussir à s'en souvenir. C'est même horripilant! Ton poème est bien fait, et celui de Tilk est un vrai cauchemar! Bisous Gazou.merci pour le compliment sur la petite fabrique d'écriture, c'est trés gentil surtout que moi je ne suis pas ni poetesse ni écrivain, je ne sais pas écrire mais là pour une fois je crois que je me suis assez bien débrouillée lol mdr ton blog est trés bien bravo bonne continuation gros bisous à bientotCoucou Gazou. Me voici de retour sur la blogosphère après une pause; j'ai été ravie de te revoir chez moi. Je rattrape mes retards de lecture chez toi. J'aime beaucoup ce texte sur les rêves; cette part de nous qui semble nous échapper, ce mystère que nous mêmes ne percerons sans doute jamais. Bisous. Audrey
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