• Réveil

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      Je me réveille...

    IL est six heures.

    Quelle que soit l'heure à laquelle je me couche, en ce moment une horloge intérieure me réveille à six heures...Un vent frais me caresse le visage...Je le savoure pour en garder le souvenir aux heures moites de la journée...
    J'essaie de saisir les rêves de la nuit mais ils se sont  tous évanouis, dilués,  disparus....Ils sont dans les nues, définitivement perdus...Et si je n'y veille, je vais , à demi éveillée, continuer à m'égarer dans des rêves insensés qui passent comme légers nuages et ne laissent aucune trace....
      Allons !  Allons ! Quelques étirements !
    Un bonjour à cette nouvelle journée qui s'annonce...Je ne veux pas la laisser s'évaporer comme les rêves de la nuit....A moi d'en découvrir la splendeur !


  • Commentaires

    1
    Samedi 20 Juin 2009 à 10:12
    je connais aussi ces rêves insensés de la matinée...splendide la peinture !!!
    2
    Samedi 20 Juin 2009 à 11:40
    Je trouve beaucoup de beauté dans tes lignes. Je me disais en te lisant : mais que j'aime ta vie... Belle journée. Merci.
    3
    Samedi 20 Juin 2009 à 12:18
    J'aime t'écouter au reveil...Toute la joie de vivre...
    4
    Samedi 20 Juin 2009 à 12:25
    Quel beau bonjour !
    5
    Samedi 20 Juin 2009 à 14:27
    La vie ne peut être que douce et joyeuse avec toi.
    Bisous Gazou et bon week-end.
    6
    Samedi 20 Juin 2009 à 16:08
    Je te fais confiance tu réussis toujours a voir le beau.
    7
    Samedi 20 Juin 2009 à 18:13
    c'est justement a 6 heures que je me lève..et c'est vrai que c'est un instant de solitude et de paix incroyable..juste avant la tempête des enfants ou le tumulte de l'autoroute c'est vrai aussi que c'est là qu'on pense a ses rêves un café chaud a la main
    j'aime bcp ton illustration
    besos
    tilk
    8
    Samedi 20 Juin 2009 à 20:33
    C'est un peintre que j'ai découvert lors d'un périple à Vienne, on reconnait de suite son style, merci Gazou j'avais pu apprécier sa maison et ses couleurs sur place c'est bien agréable de le trouver chez toi aujourd'hui..
    9
    Samedi 20 Juin 2009 à 21:02
    Ton texte me fait penser que j'avais pleins d'idées, hier soir, pour continuer mon récit et ce matin, plus aucune idée..
    tu vois, nos rêves parfois s'envolent mais les idées aussi.. bof.. elles reviendront comme elles sont parties.. et tes rêves ? tu t'en souviendras peut-être..
    Bonne soirée..
    clem
    10
    Samedi 20 Juin 2009 à 23:32
    Un éveil stimulant, annonceur d'une bonne journée. Chaque jour a sa splendeur.
    11
    Dimanche 21 Juin 2009 à 03:05
    c'est vrai que le corps et le mental ont leurs habitudes on a beau ne pas mettre la sonnerie du réveil, c'est instantané et puis les beaux jours c'est si agréable d'en profiter au maximum :-)
    big bisous
    12
    Dimanche 21 Juin 2009 à 10:12
    Bonjour Gazou,
    Je ne t'ai rien écrit à propos du texte "réveil". Je crois qu'il y a plusieurs catherine qui fréquente ton blog. Moi, je suis catherine de je crie, j'écris. Je ne fréquente plus les blog pour l'instant car j'ai quitté mon mari et je suis sans logement, sans ordi et sans internet ...d'où l'arrêt de mon blog..
    Je t'embrasse et te souhaite une bonne continuation
    13
    Lundi 22 Juin 2009 à 23:17
    Je me demandais en te lisant... pourquoi ne peut-on pas garder les deux ?
    14
    catherine2
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:57
    L'enfer

    Il paraît qu’il est pavé, et ce serait de bonnes intentions. Et je me demande parfois, si ce n’est pas d’intentions - tout simplement. Car nous voici en vie, et cette condition fait naître en nous l’envie, le projet, l’intention de la remplir de tout ce qui nous semble beau, bon et désirable. Un élan que notre société exalte et considère comme signe de vitalité, mais un élan, reconnaissons-le, qui crée aussi notre enfer. Lorsque les choses ne vont pas comme nous aimerions. Lorsque les personnes et les évènements ne répondent pas à nos attentes. Nous voici déçus et contrariés, presque prêts à quitter le navire. Alors certains cherchent les grands moyens. D’autres plus raisonnables révisent leurs ambitions à la baisse parfois jusqu’à vouloir en perdre définitivement la trace. Et cela conduit immanquablement à un état dépressif. Mais franchement, est-ce en réduisant la taille de l’enfer qu’on en sort ?


    étrange beauté (merci Jean)

    Sous les pavés, la plage. Slogan pour un monde libéré de toute intention ? Vivre au jour le jour, sans autre projet que jouir… c’est encore une intention ! Et la réalité a vite fait de nous remettre dans le rang. Il s’agit donc de creuser plus profond. Creuser jusqu’à la Source, pour retrouver l’Intention. Celle qui nous parle d’être, dans nos désirs et nos aspirations, et par-delà eux tous, être l’expression de l’infinie richesse du mouvement de la Vie. Rester conscient de nos attentes, mais les mûrir au point que leur chair se gonfle et s’ouvre et s’offre à plus vaste qu’elles. Abandon intime qui promet l’éternelle fécondation. Si seulement nous savions trouver le chemin de ce féminin en nous. Nous pourrions en jouir sans fin, sans finalité, juste pour entrer en accord avec le grand Foisonnement. Mais à ce paradis luxuriant nous semblons décidemment préférer nos enfers étriqués. Jusque quand ? Même les pavés transpirent la beauté, de leur étonnante diversité…

    Publié par Christian à l'adresse 12:02 4 commentaires
    samedi 13 juin 2009
    Commencement

    À la fin d’une belle histoire il est fréquent que l’on repense à son commencement. Cela vous est-il arrivé ? Moi oui. Mais au commencement d’une nouvelle étape, qui pense à sa fin ? Pourtant c’est une réalité incontournable. Tout ce qui débute dans ce monde est promis à un achèvement. C’est ainsi. Même l’arbre que l’on plante mourra un jour. Alors c’est vrai, dans certains cas nous ne sommes plus là pour le voir. Comme pour un couple qui a su s’aimer, grandir et faire le parcours ensemble : celui qui part le premier n’en connaîtra pas l’issue. Mais l’autre qui reste, comment pourrait-il échapper à l’après ? Et même pour un enfant, s’il paraît logique que ce soit lui le témoin de la disparition de ses parents, les parents ne peuvent pourtant ignorer que l’enfant aussi s’en ira un jour. Et certains, de l’avoir oublié, se sont trouvés durement frappés… La vie n’est que cycle, et cela signifie que tout commencement appelle une fin. Nous devons nous en souvenir, même si nous ignorons la durée de bien des cycles.

    On pourrait donc imaginer le dialogue d’un homme et d’une femme qui viennent de se rencontrer, éprouvent l’un pour l’autre de vrais sentiments amoureux, constatent l’élan puissant qui soulève leurs deux cœurs, désirent s’engager pour une vie commune… et qui au lieu du « j’aimerais que notre amour dure toujours » se confient sur l’oreiller « notre histoire a un commencement, elle aura donc aussi une fin », et s’autorisent à en parler. Cela briserait le romantisme de la situation ? Peut-être, mais ce serait un moyen de ne pas confondre l’histoire qui veut s’écrire avec ce dont elle nous parle. Car si les humains ont su à une certaine époque construire des temples et des cathédrales qui ont défié les siècles, n’est-ce pas ce qu’ils désignent qui doit retenir notre attention plus que les monuments eux-mêmes ? Et une fleur qui ne dure que quelques jours ne nous raconte-t-elle pas le même au-delà ? Regarder la fin dès le commencement, ce n’est pas désespérer : c’est veiller à rester reliés à ce qui n’a ni commencement ni fin.
    15
    Maryse
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:57
    J'aimerais bien me lever tôt, mais je n'ai jamais su le faire. 6 heures du matin, c'est l'heure où la vie me parait la plus "vaine", la plus "angoissante" de la journée et je me rendors si je le peux très vite.
    Je n'ai jamais su pourquoi je crains tant la lumière des aubes. ? Maryse
    16
    catherine2
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:57
    Désolée Gazou et Christian, pour le malencontreux copié collé destiné à une amie qui n'a bien sur rien à faire ici. Le message qui aurait du être publié est ( de mémoire)le suivant : "la page de ce blog est en train de s'ouvrir lorsque le téléphone sonne,sous mes yeux cette peinture, ces couleurs, ces formes que je découvre, et cette magie qui se dégage... La conversation téléphonique dure, on me demande si je vais bien, moi je suis sous le charme d'Hundertwasseur, je réponds à côté je crois. Je dois partir, mais j'ai hâte d'être à ce soir, parceque je reviendrai voir ce tableau, et me renseigner sur son auteur.Merci Gazou"
    17
    Maria-D
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:57
    L'Avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt... et cela est bien vrai... accueillir le jour est un instant sans nombre...

    Un bonheur de voir là une peinture de Hunderwasser un architecte et artiste talentueux
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