• Lettres à Saîda de Denis Emorine

    "Lorsque tu es loin
    ta voix
    résonne en moi.
    il n'y a pas de mots
     pour définir ce
    chemin intérieur.

    Un jour
    tu écriras
    le poème à venir
    qui hésite toujours sur
    le chemin à prendre.

    Ce poème
    toujours en
    retard sur nous."



    "Si vraie
    la vie
    lorsque je pense à toi.
    Si vraie
    que les mots n'existent plus."



    Ils ne font plus  écran
    à la rotation du monde
    tout contre nous"






  • Commentaires

    1
    Vendredi 26 Septembre 2008 à 09:42
    bonjour, j'écris du slam (poésie contemporaine), des nouvelles, je peins et dessine aussi alors à bientot et bonne journée.
    2
    Vendredi 26 Septembre 2008 à 18:51
    J'ai beaucoup de plaisir à venir ici, pour tes écrits et pour ceux que tu me fais connaitre.
    3
    Vendredi 26 Septembre 2008 à 19:55
    Sous le charme de ces mots
    4
    Samedi 27 Septembre 2008 à 08:13
    j'ai trouvé le poème que je voulais inscrire pour la décoration des jeunes mariés.
    5
    Samedi 27 Septembre 2008 à 11:03
    "poème en retard sur nous" ??? ne serait-il pas plutôt toujours en avance sur nous
    6
    Samedi 27 Septembre 2008 à 22:28
    j'adore... vive cet amour inconditionnel et irraisonné qui nous rend à nous même.. et mon bonjour joyeux à ma chère gazou... ana
    7
    Dimanche 28 Septembre 2008 à 22:26
    Coucou Gazou, ce poème est très beau et si plein de vérité. Gros bisous et très bonne soirée,
    8
    Samedi 4 Octobre 2008 à 12:11
    Merci beaucoup de donner un écho à ma poésie,Gazou. Je me permets de préciser que mes "Lettes à Saïda" ont paru aux Editions du Cygne.
    9
    Lundi 13 Octobre 2008 à 17:04
    J'aime bien cette photo : fragilité transparente et force devant l'orage qui gronde . toute en opposition! merci de ton passage sur mon blog Miregi
    10
    Noisette
    Mardi 2 Juillet 2013 à 17:06
    Plaisir chaque jour renouvelé Le mail de Gazou. Plus tard je reviens .Noisette.
    11
    Suzette
    Mardi 2 Juillet 2013 à 17:06
    Très chère Gazou, ne te serre-t-il pas le coeur, , ce Denis Emorine, fasciné par le temps qui s'enfuit et la fragilité des relations entre les êtres? Sa nouvelle:"Vers la Source" et cette course désespérée à travers Venise m'a bouleversée!
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