• Croyants ou non

    "Celui qui croyait au ciel

    celui qui n'y croyait pas"

     

    Ainsi disait le poète;

     

    Le clivage n'est pas là, je crois

    il y a longtemps que je constate qu'il n'y a pas grande différence entre les croyants et les incroyants

    Mais il y a je crois un clivage certain

     

    "..entre ceux qui pensent possible de devenir meilleurs- c'est à dire plus vivants...et ceux qui n'y croient pas...

    Apercevoir une autre qualité d'être affleurant à des sensations d'infini et d'éternité, nous laisse espérer qu'il peut y avoir autre chose en nous qu'une âme étroite.Pour beaucoup, dieu n'a peut être rien à voir dans une telle aventure"

     

    J'ai trouvé cette réflexion de Pascale Senk dans la revue "Clés"

    Et elle collait tellement bien à ce que je pense intérieurement que j'ai eu envie de le partager avec vous.


  • Commentaires

    1
    ABC
    Lundi 4 Octobre 2010 à 09:26

    Reconnaître une présence, pouvoir se confier, et apprendre à aimer....

    2
    Lundi 4 Octobre 2010 à 10:34

    C'est vrai Gazou que le lien est étroit entre celui qui croit ou ne croit pas !! Entre cet espace minime, tant de chose on peut broder pour ce moment qu'on appelle éternité.

    bisous mon amie...excellent partage

    3
    Lundi 4 Octobre 2010 à 10:39

    Et tu as bien fait Gazou, de partager avec nous cette réflexion !

    "Une qualité d'être affleurant à des sensations d'infini et d'éternité", le divin se cache peut-être là ?!

    Bonne journée Gazou

    4
    Lundi 4 Octobre 2010 à 11:45

    très belle citation et belle réflexion.... peut-être parfosi est-il plus facile de croire en l'immatériel que de croire en nous....

    5
    Lundi 4 Octobre 2010 à 13:59

    Merci pour ce partage, cette pensée est très intéressante.

    Bisous Gazou et bonne journée.

    6
    Lundi 4 Octobre 2010 à 14:41

    Autrement dit, ceux qui croient en l'homme et ceux qui n'y croient pas...

    Belle soirée Gazou

    Jackie

    7
    Lundi 4 Octobre 2010 à 15:28

    transformer une pensée en croyance est tout de suite un problème

    8
    Lundi 4 Octobre 2010 à 17:41

    une pensée vers toi...bonne semaine xxxx

    9
    Lundi 4 Octobre 2010 à 19:28

    j'aime bien ton idée du "plus vivants"

    10
    Lundi 4 Octobre 2010 à 19:29

    Je pense que tu ne seras pas étonnée si je partage ton sentiment, que ce texte correspond aussi à ce que je ressent  tu as bien fait de nous le partager ...merci

    11
    Lundi 4 Octobre 2010 à 19:55

    Un bien vaste débat Gazou, je botte en touche ; ce qui ne m'empêche de vouloir devenir meilleur en te lisant... Ben voui.  

    12
    Lundi 4 Octobre 2010 à 20:40

    bien sûr, avec plaisir, prends ce que tu veux, il suffit que tu m'en informes, je suis contente de participer tant soit peu au Petit Mandrin...pour le moment, je n'ai aps réussi à écrire spécialemnt pour lui mais ça viendra sans doute

    13
    Lundi 4 Octobre 2010 à 20:50

    oui, danser ensemble...pour un monde plus aimant...!

    J'espère que ton torticolis cessera bien vite de te tourmenter

    14
    Lundi 4 Octobre 2010 à 21:50

    Les hommes existent par leur âme, leur coeur et leurs actions sont le reflet de leur croyance dans les critères d'humanité. On peut croire et être sectaire et intolérant et ne pas croire , et être un puits de générosité . Belle soirée, bises Gazou

    15
    Lundi 4 Octobre 2010 à 22:34

    merci de ce partage, tu as peut être raison, moi pour l'instant je suis dans une phase de questionnement... Je crois à un au delà, je crois à une suprématie de l'être humain mais je ne sais plus lui donner de nom...

    Bisous

    régine 

    16
    Lundi 4 Octobre 2010 à 23:04

    croyant ou pas, le message est le même pour tous, aimer

    bises

    17
    Mardi 5 Octobre 2010 à 02:11

    Souvent bien des non-croyants ont l'esprit plus large que certains croyants.

    18
    Mardi 5 Octobre 2010 à 14:15

    En effet la différence doit être minime. Et ceux qui pensent ne pas croire, finissent à un moment ou à un autre, à croire à un petit quelque chose. Le drame est la récupération des religions par des politicos/industrios/interssos/gurilléros.

    Pas très bien dit tout cela, pardon.

    19
    Mercredi 6 Octobre 2010 à 07:18

    Encore une reflexion stimulante. Le clivage ne se situerait-il pas entre la possibilité et l'impossibilité d'espérer en une vie plus accomplie et plus épanouie et de croire que c'est possible ? Chacun doit trouver ensuite une source à laquelle alimenter cette espérance et cette foi... ou ne la trouve pas. 

    20
    Mercredi 6 Octobre 2010 à 09:16

    La correction est juste

    A nous de faire en sorte qu'il y ait autre chose en nous qu'une âme étroite

    bonne journée, Nicole,j'apprécie toujours tes passages si sincères

    21
    Mercredi 6 Octobre 2010 à 09:58

    il y a des croyants qui se limitent bien la vie, des croyants qui ont l'esprit ouvert aux possibles, des non croyants qui se limitent et des non croyants qui sont bien positifs et aimants... bonne journée

    22
    Mercredi 6 Octobre 2010 à 12:35

    J'aime bien cette différence... je pense qu'elle est vraie.

    Merci pour ce partage, Gazou.

    23
    Lundi 11 Octobre 2010 à 22:47

    problème :

    comment élargir notre âme

    que nous donnions un nom (dieu, par exemple) ou que nous n'en donnions pas, ne change rien à la chose.

    24
    zilberman
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:41

    J'aime bien la pensée émise aujourd'hui dans ton blog. Pourrais-le faire apparaître dans "La Chronique du petit Mandrin" ? Bisous. Gérard

    25
    catherine2
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:41

    et les grands yeux ouverts, nous danserons ensemble, nous danserons encore , croyants ou non croyants un monde plus vivant, plus large et plus aimant

    bizou gazou,  pour moi après le rhume, la minerve pour un  torticoli costaud ...

    26
    nicole 86
    Mardi 2 Juillet 2013 à 16:41

    espérer qu'il peut y avoir autre chose en nous qu'une âme étroite

    J'aurais envie de dire " faire en sorte qu'il y ait en nous autre chose qu"une âme étroite", pour celà commencer par l'espèrer et puis le croire fermement et puis y mettre tous son coeur, aussi souvent, aussi longtemps, aussi obstinément que possible.

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