-
Adieu tristesse !
Tout devrait aller pour le mieux
mais ai-je voulu me mettre en harmonie avec ce ciel de pluie
Une tristesse sournoise et profonde me grignote,
l'air de rien, l'air de n'y pas toucher;
Pourtant elle est là et colore de gris sale
une palette qui devrait être en couleurs toutes douces et joyeuses...
J'ai beau en rire en sourdine et me moquer d'elle
car j'en connais la cause...
C'est une souris qui accouche d'une montagne
et c'est proprement ridicule et sujet à comédie, à vaudeville...
Elle est quand même là, tenace et têtue,
je la regarde bien dans les yeux..
je lui souris même...
Enfin serait-il raisonnable de reprocher à la tristesse d'être trisite...
Elle est ce qu'elle est et il lui faut bien loger quelque part....
Je lui souris, je ne me lasse pas de lui sourire....
Et la voilà partie...
Je ne l'ai pas vue s'en aller
Adieu tristesse !
-
Commentaires
parfois on est triste même avec un soleil magnifique, sourire ou lui tirer la langue? ça marche aussi!J'aime bien la solution d'Azalaïs... on peut lui sourire ou lui tirer la langue.
Je crois que l'important, c'est de savoir qu'elle peut surgir à tout moment et ne pas faire semblant de ne pas la voir.
L'automne est propice à de nouvelles rencontres... lui sourire... ou comme Aza, lui tirer la langue, pour qu'elle ne s'attarde pas.
Bisous, Gazou. Passe une belle journée.et bien tant mieux si elle est partie...c'est vrai que parfois on s'atriste pour pas grand chose...
besos
tilkVoilà Gazou, c'est le cercle vicieux qu'il faut rompre. La déprime engendre la déprime qui engendre le stress et la tristesse! Souris amie
NettoueLa tristesse devient ennemie si on ne la chasse pas tout de suite.Et reste là-bas, dans ton nuage gris et moi, je vais boire encore un peu de soleil riant!Oui, il faut apprendre à lui sourire, et à l'apprivoiser...Tu as eu raison Gazou, il faut toujours regarder les étoiles, même quand on a envie de courber la tête sous un poids qu'on connait bien, il faut lutter, et à un moment, et bien les nuages s'estompent, on se sent plus léger, et on peut les voir les étoiles, et... leur sourire.
Bises du soir à toiBravo de pouvoir sourire à ta tristesse ! je sais la regarder en face, lui parler...mais lui sourire non c'est pas encore pour aujourd'hui, çà viendra peut-être, qui sait, maintenant que tu m'en a donné l'idée.Tiens!
Tout comme moi, je ne sais pas si c'est de la tristesse ou un état d'âme qui chavire.
On lui cherche des raison et on en trouve toujours.
Quand elle m'enveloppe, je me fais toute petite, et si je ne sais ni lui tirer la langue, ni sourire, je me tance méchamment en trouvant qu'elle est bien égoïste de se nicher là. qu'est-ce qui lui arrive à ce nombril larmoyant?
Alors je me raconte l'histoire du puits, parce que c'est comme si j'étais dans un puits, et je cherche les barreaux de l'échelle, il y en a toujours: un livre, une musique, les brumes vaporeuses sur les sommets, mon Kerny qui frotte son museau sur mes jambes pour me dire qu'il est là, un appel joyeux d'un de mes enfants etc.
Et je grimpe doucement, et malgré les mauvaises nouvelles qui tombent, il y en a toujours une au moins qui réjouit.Merci pour cet article "passeur d'espoir"... comme tant d'autres sur ce blog.15NoisetteMardi 2 Juillet 2013 à 16:54Souvent nous vivons de la façon dont nous abordons la vie et bien souventil ne faut pas grand chose pour être à côté de ses chausettes.
Belle journée le soleil est dans nos coeurs .16catherine2Mardi 2 Juillet 2013 à 16:54la chasse est donc ouverte , à ces petits états mentaux qui nous grignottent quotidiennement17ZilbermanMardi 2 Juillet 2013 à 16:54Bonjour tristesse !
Nous ne sommes pas toujours maitre de nos sentiments et humeurs.C'est le charme de la vie. Bisous. Gérard
Ajouter un commentaire
douce journée Gazou.