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Par gazou . le 3 Février 2019 à 16:20
Vendredi soir , au village, il y avait un concert. Les frères Boccara étaient là, en fait, ils n'étaient que deux, le troisième étaient ailleurs, et ils nous ont offert leurs chansons...Et ils nous ont invité à chanter avec eux en chantant Brassens, Ferrat, Barbara....C'était une soirée bien sympathique
Les Boccara sont des frères qui font de la chanson ensemble depuis qu’ils sont …. frères !
Après avoir suivi chacun une formation différente (école de la rue, grandes écoles – ENS, ENSATT, ENM – autodidactes), ils se décident à partager les chansons qu’ils écrivent et composent.Amateurs de Brassens, Fersen, La Tordue ou encore des Ogres de Barback, si nos compères ont les mêmes références, chacun a bien son style : Roméo aime la poésie et les bons mots, Cyril mêle sensibilité et engagement, et Antonin, lui, adore faire rire et surprendre.
Le groupe s’accompagne à la guitare, à plusieurs voix, avec des influences musicales diverses : chanson traditionnelle, jazz, folk, yéyé … Ils aiment travailler sans relâche leurs textes et leurs mélodies, pour vivre avec les inconnus d’un soir un moment léger et profond, sensible et joyeux … un partage simple de fraternité.
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Par gazou . le 17 Septembre 2018 à 18:27
Je lis cet article qui me réjouit.
Oui, la paix est une priorité, la recherche essentielle et tous ces artistes nous le rappellent et nous donnent le désir de participer, à notre niveau, à cette recherche de paix
Biennale de la danse de Lyon : un spectacle pour la Paix franco-arabo-israélien
Par Culturebox (avec AFP) @CultureboxMis à jour le 16/09/2018 à 14H52, publié le 16/09/2018 à 14H50
Répétition du spectacle à Rillieux-la-Pape
© France 3 Culturebox Capture d'écranLa Biennale de la danse de Lyon, c'est une série de spectacles venus du monde entier, mais c'est aussi et sans doute surtout un événement que s'approprient les associations et compagnies de danse de toute la région. Sur le thème de la paix, le centre chorégraphique de Rillieux-la-Pape, dans la banlieue lyonnaise, a réuni danseurs locaux et artistes israéliens, juifs et arabes.
Comme un symbole, le défilé 2018 de la Biennale de la danse de Lyon revient rue de la République, la principale voie piétonne de la capitale des Gaules, entre la place des Terreaux et la place Bellecour. Il y a deux ans, quelques mois après les attentats de 2015, il avait trouvé refuge dans le stade de Gerland pour des raisons de sécurité. 250 artistes professionnels et 4 500 amateurs composent cet immense ruban chorégraphique dont les parrains sont cette année Lilian Thuram et Latifa Ibn Ziaten, la mère de l'une des victimes du terroriste de l'école Ozar Hatorah de Toulouse.
Tout comme cette femme qui prône la tolérance entre les religions et combat la radicalisation, l'un des leitmotivs de cette Biennale est la recherche de la Paix. L'un des excellents exemples des démarches accomplies en ce sens parmi les associations et compagnies de danse, nous l'avons trouvé dans l'immédiate banlieue nord-est de Lyon, à Rillieux-la-Pape.
Reportage : France 3 Rhône-Alpes S. Adam / V. Benais / Q. Bartoli / W. VadonLe centre chorégraphique de Rillieux-la-Pape a monté un spectacle qui unit ses danseurs et d'autres, arabes et juifs, venus d'Israël. Plus qu'une expérience, ce spectacle, l'aboutissement de quatre années de travail, est l'illustration que tout est possible si la volonté est là. Un message que porte la Biennale de la danse de Lyon depuis sa création en 1984.
Donner du sens
En bord de route, la marraine de l'édition: Latifa Ibn Ziaten, mère de la première victime du jihadiste Mohammed Merah en 2012 à Toulouse qui milite pour le dialogue inter-religeux et contre la radicalisation. Et Lilian Thuram, parrain de la biennale. Le champion du monde de foot 1998 très engagé sur les questions de racisme et d'intégration via sa fondation. "Il y a un mouvement de paix et les gens autour ont envie de suivre", souligne l'ex-joueur de foot, qui regrette les barrières empêchant tout le monde de danser.
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Par gazou . le 3 Août 2018 à 21:57
C'était hier, à la ville voisine, mais je n'étais pas disponible et je n'ai pu y aller et je me contente de la vidéo
par Aude Henry
Les vocalises s'échappent des fenêtres de plusieurs salles de l'école où ils répètent. Au pied de l'emblématique tour de Crest, les stagiaires de l'atelier création du festival de Jazz Vocal répètent depuis trois jours.
Trois jours qu'ils déchiffrent les partitions et tentent de se caler sur le tempo du Trio Barolo qui, pour l'occasion, s'est transformé en quintet. Dernier jour de stage, derniers conseils de Rémy Poulakis. Ce 2 août, les choristes amateurs seront sur scène, en première partie de Mélanie de Biasio.
Les stagiaires, venus de toute la France, ont déjà un parcours musical. Freddy est ainsi le chef de choeur d'une chorale de variété à Paris. Il le reconnaît : "le stage est d'un bon niveau, on a tous besoin der s'accrocher, ce n'est pas évident" de suivre les musiciens.
Christine Hemmer est chanteuse dans une chorale à Metz, et autant vous dire qu'elle apprécie tout particulièrement ce stage de création : "on a une réelle immersion au sein d'une groupe musical de renom. C'est une super expérience de voir comment ils travaillent, et comment ils nous font progresser".
Echanges, et plaisir partagé. Pour le Trio Barolo, ce stage, c'est l'occasion d'apporter une autre couleur à son répertoire et ses compositions. A découvrir, sur la scène du Crest Jazz Vocal, ce 2 août.
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Par gazou . le 12 Février 2018 à 14:38
Il y avait une belle grande forêt où on pouvait ramasser des marrons et des champignons, s'y aimer et se cacher...
Une histoire qui parle du temps, ce temps qui n'est pas linéaire, qui peut s'arrêter, s’accélérer ; les temps de nos enfances restés figés le long de notre route de vie, qu'il soit bonheurs ou blessures.
En ramenant ces parts de soi dans l'instant présent, celui-ci se gonfle, s'étire, devient plus plein, plus lent. Il se prendrait presque pour l'éternité !
J'ai aimé cette histoire qui nous emmène dans une forêt enchantée où l'on découvre
que celui qui danse avec le loup n'a plus peur du tout.
Bien souvent , nous considérons que tout ce qui est inconnu nous fait peur et nous paralyse.
Si l'on ose avancer, avec prudence quand même, nous découvrons une liberté et une joie inconnue...
J'aurais aimé trouver le conte dit en son entier par Jacques Coutureau son auteur, on m'a dit qu'il était sur Internet mais je n'ai pas pu le découvrir.
Ce soir là, il était joué et dansé par deux conteuses qui nous ont dit des extraits seulement...Elles étaient accompagnées par un joueur de vielle.
Néanmoins ce fut une très bonne soirée.
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Par gazou . le 18 Décembre 2017 à 14:46
" Lorsque Tsirihaka Harrivel s’accroche à un filin dirigé par Vimala Pons qui le conduit devant un toboggan de huit mètres de haut à la pente vertigineuse et qu’il se laisse glisser avant de rebondir sur ses pieds une seconde et quelques dixièmes plus tard, la salle entière retient son souffle et laisse échapper un cri de surprise. “Première chute”, annonce-t-il dans le micro avant d’annoncer le numéro suivant : “Quand je tiens à quelqu’un.” On le voit alors prendre à deux mains la jambe d’un pantalon accroché à un filin et se laisser suspendre à nouveau à huit mètres de hauteur ainsi que toute la chaîne de vêtements qui compose cette étrange corde dont on devine qu’il va bientôt en faire son terrain de jeu."
lQuant à moi, je ressors du spectacle, ébahie certes, comment ne pas l'être devant les prouesses de ces artistes hors normes...Ebahie mais pas ravie...Ce rythme trépidant et parfois violent n'est pas ce que je préfère...Les plus jeunes , sans doute, ont davantage apprécié ...J'admire cependant les prouesses des artistes.
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