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Par gazou . le 22 Septembre 2018 à 09:24
L’HOMME A LA CRAIE EST REVENU
avec de nouveaux dessins !!!!
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> > > > > Cet homme continue de surprendre beaucoup de gens avec ces dessins faits à la craie sur les trottoirs,et ce en 3D...
C’est inimaginable le talent artistique qu’il possède et qui nous fait dépasser notre imagination visuelle !!
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> > > > > >N’oubliez pas, ces images sont peintes à plat sur le sol.
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> > > >Je ne peux pas vous dire son nom, on le connaît seulement comme l'homme à la craie. Ce n'est pas de la peinture mais cesont de beaux tableaux.
7 commentaires -
Par gazou . le 15 Septembre 2018 à 08:59
J'aime cette petite vendangeuse, elle a l'air bien songeuse et bien seule...
la petite vendangeuse
William Bouguereau est le fils d'un négociant en vins de Bordeaux .
Il apprend le dessin à l'école municipale de dessins et de peintures de Bordeaux. En 1846, il entre aux Beaux-arts de Paris .
Il remporte le Premier Prix de Rome en 1850 avec Zénobie retrouvée par les bergers sur les bords de l'Araxe.
En 1866, le marchand de tableaux Paul Durand-Ruel s'occupe de sa carrière et permet à l'artiste de vendre plusieurs toiles à des clients privés. Il a ainsi énormément de succès auprès des acheteurs américains.
En 1876, il devient membre de l'Académie des beaux-arts, mais l'année suivante est marquée par des deuils successifs, d'abord deux de ses enfants et ensuite son épouse décèdent.
En 1885, il est élu président de la Fondation Taylor, fonction qu'il occupera jusqu'à la fin de sa vie. Il obtient la médaille d'honneur au Salon4.
À un âge assez avancé, Bouguereau épouse, en deuxièmes noces, une de ses élèves, la peintre Elizabeth Jane Gardner. Le peintre use également de son influence pour permettre l'accès des femmes à beaucoup d'institutions artistiques en France.
Il meurt en 1905 à La Rochelle, laissant une fille unique (de sa première femme), qui épousa un M. Vincens.
Son thème de prédilection est la représentation du corps féminin. Avec Cabanel, Lefebvre et Gérome il est associé au genre du nu académique. Sa Naissance de Vénus est emblématique, d'une peinture sensuelle profondément influencée par les Vénus d'Ingres. C'est avec ce genre qu'il connaît le plus de succès mais rencontre aussi le plus de critiques. À cause de la texture lisse et minutieuse de sa peinture, Joris-Karl Huysmans dit à son encontre : « Ce n'est même plus de la porcelaine, c'est du léché flasque ; c’est je ne sais quoi, quelque chose comme de la chair molle de poulpe5 ». Le peintre impressionniste Edgar Degas invente le verbe « bouguereauter » pour désigner ironiquement l'action de fondre et de lisser le rendu pictural de cette manière.
Après le deuil qu'il subit en 1877, il se tourne vers une peinture à thème religieux et délaisse les thèmes en rapport avec l'Antiquité de ses débuts
Déconsidéré en Europe peu après sa mort et jusque vers la fin du XXe siècle, son œuvre y est redécouverte tardivement. De son vivant, les toiles de Bouguereau sont très recherchées par de riches Américains qui les achètent à des prix élevés
Dans le contexte du XXe siècle, où l'influence du modernisme grandit en histoire de l'art pour en devenir finalement le courant officiel6, l'art académique se trouve discrédité, dévalué. Les artistes académiques comme Bouguereau connaissent alors une dévaluation très significative. Pendant des décennies, le nom du peintre a même fréquemment disparu des encyclopédies généralistes et des enseignements artistiques ou est simplement mentionné comme celui d'un exemple à ne pas suivre10, objet de moqueries11 (souvent appuyées sur des citations de Zola ou de Huysmans) et entaché par des rumeurs diffamantes12. On reproche au peintre sa participation aux jurys des Salons officiels de peinture du XIXe siècle qui sont majoritairement opposés à l'admission des œuvres relevant des mouvements modernes de la peinture (Cézanne surnommait le Salon « Salon de Bouguereau »
À partir des années cinquante, Salvador Dalí manifeste son admiration pour l'art de Bouguereau, qu'il oppose à Picasso, et contribue à sa redécouverte. Dans Les cocus du vieil art moderne15, Salvador Dali écrit : « Picasso qui a peur de tout, fabriquait du laid par peur de Bouguereau. Mais, lui, à la différence des autres, en fabriquait exprès, cocufiant ainsi ces critiques dithyrambiques qui prétendaient retrouver la beauté »
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Par gazou . le 8 Septembre 2018 à 07:39
Frédéric Brandon, le peintre de la ligne 9 du métro parisien
Par Jean-Francois Lixon @Culturebox"Havre-Caumartin" l'une des toiles de Frédéric Brandon
La mairie du 9e arrondissement de Paris accueille une exposition des tableaux de Frédéric Brandon. Depuis sept ans ce peintre francilien s'inspire des stations de la ligne de métro n°9 et ses usagers. Entre pop art et réalisme, son oeuvre est à la fois clinique et touchante. Jusqu'au 16 septembre 2018.
"Pont de Sèvres-Mairie de Montreuil". Soit une traversée de Paris d'ouest en est, ou l'inverse ! Frédéric Brandon est à la fois peintre et habitué de cette ligne, la 9. Pendant sept ans, il a concentré son travail sur les 36 stations qui traversent les quartiers populaires de l'est puis les plus huppés de la capitale au fil de son périple vers l'ouest.
38 stations dont...La ligne 9 compte trente-sept stations, sans compter Saint-Martin, inaccessible et fermée. La préférée de l'artiste. Frédéric Brandon y a peint la bagatelle de 230 tableaux. Quelques dizaines d'entre eux sont exposés à la mairie du 9e (métro Bonne Nouvelle ) jusqu'au 16 septembre. Frédéric Brandon, lui, habite au terminus est, Mairie de Montreuil.
Si j'étais à Paris, je prendrai volontiers le métro juste pour voir les oeuvres de ce peintre et, bien sûr, je passerai à la mairie
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Par gazou . le 1 Septembre 2018 à 07:37
Mirmande un jour de Mistral
Né à Bordeaux en 1885,
André Lhôte s'intéresse très tôt à la peinture,
c'est en 1925 qu'il fonde son Académie de peinture à Paris.
C'est aussi , à cette époque, qu'il découvre le village de Mirmande qui, alors tombait en ruines.
Lui en tombe amoureux, achète une maison et la restaure, y fait venir des amis, des artistes...
Il y installe une Académie d'été pendant plusieurs années...
On peut dire qu'il a beaucoup contribué à la renaissance du village.
Il y a vécu 37 ans.
les filles
Il meurt à 77ans et laisse une empreinte incontournable dans l'univers du cubisme et à Mirmande.
Portrait de Simone
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Par gazou . le 25 Août 2018 à 18:17
Le peintre Arcabas est mort ce 23 août à 92 ans.
Un jour j'ai eu le bonheur de visiter l'église Saint Hugues qui est devenue un musée où l'on a le bonheur de voir de nombreux tableaux de ce peintre.
Et j'y retournerai avec grand plaisir.
Arcabas dans son atelier
© France 3 / CultureboxLe peintre Jean-Marie Pirot, dit Arcabas… s'est éteint le 23 août à l’âge de 92 ans. Originaire de Lorraine, il a marqué de son empreinte artistique le massif de la Chartreuse en Isère notamment avec la réfection sur plus de trente ans de l'église de Saint-Hugues de Chartreuse.
Arcabas peignait dix heures par jour, deux cent cinquante jours par an. Le reste du temps était disait-il "imparti aux errements, à la détresse, à la recherche obstinée d'une "conscience d'être" brusquement égarée, sans laquelle plus rien n'est possible, surtout pas l'élaboration passionnée et souvent hasardeuse de ces sortes de miroirs appelés œuvres d'art."
Même s'il a créé les décors et les costumes de "La danse de la mort" de Strinberg ou des "Justes" de Camus pour la Compagnie des Alpes, il tient sa renommée de son oeuvre dans le domaine du sacré.
Jean-Marie Pirot était professeur à l'école des beaux arts de Grenoble, ce sont ses élèves qui l'ont surnommé Arcabas. Spécialisé dans l'art religieux, il s'est surtout fait connaître avec une oeuvre monumentale qu'il a réalisée sur plus de trente ans : l'ensemble d'art sacré de l'église Saint-Hugues-de-Chartreuse à St Pierre de Chartreuse. Il s'agit de l'une des réalisations les plus abouties de l'art sacré contemporain, composée de cent onze de ses oeuvres de peintures, sculptures, et mobilier.une fresque d'Arcabas à l'église Saint HuguesEn Isère, la petite église de Saint-Hugues de Chartreuse est devenue un musée d'art contemporain. Il y a soixante ans le peintre Arcabas entamait l'oeuvre très personnelle qui devait devenir un joyau de l'art sacré du XXe siècle. Ces peintures immenses, très colorées illustrent des passages de l'Evangile.
Il y avait d'un côté un jeune artiste, Jean-Marie Pirot passera à la célébrité sous son pseudonyme d'Arcabas, qui cherchait un édifice religieux où réaliser ses peintures sacrées. De l'autre, il y avait un curé, le père Truffot, en charge de la paroisse de Saint-Hugues, à quelques kilomètres de Grenoble, dans le massif de la Chartreuse. Très ouvert, l'ecclésiastique accepte de laisser libre court à l'esprit créatif de l'artiste.
Personne ne le regrettera même si l'aventure allait durer une trentaine d'années. L'artiste commence son oeuvre, puis l'abandonne pour la reprendre plus tard. Au résultat, l'intérieur de ce modeste édifice religieux de montagne bâti en 1860 est une merveille d'art sacré contemporain qui peut aussi satisfaire les ouailles catholiques. Loin de l'image pieuse qui illustre sans imagination les faits bibliques, ces tableaux s'inspirent de la vie de tous les jours pour actualiser la Parole.Arcabas a déclaré un jour " De toutes les vertus passées en revue, il n'y en a qu'une seule que je pourrais revendiquer, c'est la fidélité, cette espèce d'obstination et d'endurance inexplicable à poursuivre le beauté inatteignable".
Manuelle-Anne Renault-Langlois nous invite à la découverte du peintre; à son cheminement
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