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Extraire une chance
Ce matin , je range les papiers, je jette, je trie, je relis
Et je redécouvre ce petit texte avec lequel je suis tout à fait en accord
et pourtant il m'arrive d'oublier...
" D'un évènement négatif, il est toujours possible d'extraire une chance.
On dit qu'à toute chose malheur est bon, ce qui signifie que si un échec n'est jamais souhaitable, et moins encore une souffrance ou une épreuve, force est de reconnaître que si ceux-ci ne sont pas évitables, il dépend de nous d'en être écrasé ou de faire surgir, sur la force incandescente de la douleur, une forme nouvelle d'espérance.
Une destinée est moins formée par les évènements eux-mêmes qui jalonnent une vie, que par la manière dont nous avons su accueillir, interpréter, relier, réajuster, au besoin convertir ces évènements."
François Garagnon
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Commentaires
Il faut , aussi, savoir , pouvoir, se détacher de la souffrance pour pouvoir trouver une étincelle de positif.Bonne soirée Gazou
yep yep yep
qu'en ces mots les choses sont bien dites...
je plussoie, oui, une vie de cette expérience renouvelée jusque là me permet d'être totalement en accord avec ces mots, et ton choix de partage
... précieux parmi les précieux
doux bisous et bon mercredi à toi
Un événement négatif nous fait forcément réagir, et parfois changer de comportement, ou de façon de voir les choses, c'est en cela qu'il apporte parfois du positif, car il nous fait avancer et évoluer.
Belle journée à toi, Gazou ! :-)
Bonjour
Oui, sans aucun doute... on apprend souvent beaucoup dans ces circonstances là...
Bonne journée
Jean
Je suis d'accord avec la formule dans sa globalité, quoiqu'elle soit un peu abrupte…
Quant au fait que cela dépend de nous. C'est vrai aussi. Mais sans un minimum d'environnement humain porteur, cela frise parfois mission impossible…
J'ai lu autrefois " Jade et les sacrés mystères de la vie". Je n'ai pas lu les pensées revigorantes dont ce texte est extrait. A priori, il me semble que le propos ici est un abrupt. Face à l'épreuve, il y a des étapes qu'on ne peut franchir trop vite. La révolte, le déni parfois, la mise en mots et à distance, la confidence à un tiers, la réflexion et le retour sur soi, l'accueil, la pacification ... Puis un regard nouveau sur ce qui s'ouvre devant soi. Cela peut prendre du temps, ou aller plus vite selon l'histoire de la personne, mais on ne peut trop vite passer par-dessus ce qui fait mal, sous peine d'en souffrir de façon latente.
13catherine2Mardi 2 Juillet 2013 à 16:20le regard peut transformer en creation tout ce qu'il touche, a nous de le décider
gros bisous gazou
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c.q.f.d.