-
Biennale de la danse à Lyon
Je lis cet article qui me réjouit.
Oui, la paix est une priorité, la recherche essentielle et tous ces artistes nous le rappellent et nous donnent le désir de participer, à notre niveau, à cette recherche de paix
Biennale de la danse de Lyon : un spectacle pour la Paix franco-arabo-israélien
Par Culturebox (avec AFP) @CultureboxMis à jour le 16/09/2018 à 14H52, publié le 16/09/2018 à 14H50
Répétition du spectacle à Rillieux-la-Pape
© France 3 Culturebox Capture d'écranLa Biennale de la danse de Lyon, c'est une série de spectacles venus du monde entier, mais c'est aussi et sans doute surtout un événement que s'approprient les associations et compagnies de danse de toute la région. Sur le thème de la paix, le centre chorégraphique de Rillieux-la-Pape, dans la banlieue lyonnaise, a réuni danseurs locaux et artistes israéliens, juifs et arabes.
Comme un symbole, le défilé 2018 de la Biennale de la danse de Lyon revient rue de la République, la principale voie piétonne de la capitale des Gaules, entre la place des Terreaux et la place Bellecour. Il y a deux ans, quelques mois après les attentats de 2015, il avait trouvé refuge dans le stade de Gerland pour des raisons de sécurité. 250 artistes professionnels et 4 500 amateurs composent cet immense ruban chorégraphique dont les parrains sont cette année Lilian Thuram et Latifa Ibn Ziaten, la mère de l'une des victimes du terroriste de l'école Ozar Hatorah de Toulouse.
Tout comme cette femme qui prône la tolérance entre les religions et combat la radicalisation, l'un des leitmotivs de cette Biennale est la recherche de la Paix. L'un des excellents exemples des démarches accomplies en ce sens parmi les associations et compagnies de danse, nous l'avons trouvé dans l'immédiate banlieue nord-est de Lyon, à Rillieux-la-Pape.
Reportage : France 3 Rhône-Alpes S. Adam / V. Benais / Q. Bartoli / W. VadonLe centre chorégraphique de Rillieux-la-Pape a monté un spectacle qui unit ses danseurs et d'autres, arabes et juifs, venus d'Israël. Plus qu'une expérience, ce spectacle, l'aboutissement de quatre années de travail, est l'illustration que tout est possible si la volonté est là. Un message que porte la Biennale de la danse de Lyon depuis sa création en 1984.
Donner du sens
En bord de route, la marraine de l'édition: Latifa Ibn Ziaten, mère de la première victime du jihadiste Mohammed Merah en 2012 à Toulouse qui milite pour le dialogue inter-religeux et contre la radicalisation. Et Lilian Thuram, parrain de la biennale. Le champion du monde de foot 1998 très engagé sur les questions de racisme et d'intégration via sa fondation. "Il y a un mouvement de paix et les gens autour ont envie de suivre", souligne l'ex-joueur de foot, qui regrette les barrières empêchant tout le monde de danser.
-
Commentaires
une excellente idée--- cependant les extrémistes ne changeront jamais d'avis-
les gens censés oui-
bonne soirée- bizzTrès belle initiative Gazou
Si tout les gens du monde se prenait par la main ....
Bisous a toi
Le dialogue et le respect interreligieux est un vrai défi, j'espère que tout ce qui est mis en oeuvre pour le relever aura les effets escomptés.
La paix est à ce prix.
Bisous et merci pour le partage de cet article.
Passe une douce journée.
c'st très important de faire comprendre la nécessité de la paix, la fraternité, mais tant qu'il y aura des enjeux financier et celui de l'armement sans compter les religions qui nous divisent, cela est plutôt ardu.
Bises
Ajouter un commentaire
Une bien belle initiative!