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       Claude Monet est un peintre que j'aime beaucoup.

    Il faut voir ses tableaux en vrai pour bien l'apprécier

    Les reproductions semblent  ternes  quand on voit les vrais tableaux

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
    "Les nymphéas, reflets verts". Peinture de Claude Monet 

    "Les nymphéas, reflets verts". Peinture de Claude Monet 

     
     

    L’exposition "Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet", se tient actuellement au Musée de l’Orangerie jusqu’au 20 août.


      Les nénuphars de Monet font parties des oeuvres les plus célèbres au monde, ils sont à la fois l’œuvre la plus spectaculaire du peintre, mais aussi l’obsession de sa vie. L’artiste puise son inspiration dans son jardin de sa demeure de Giverny (Eure), où il capte la lumière changeante qui effleure les nymphéas tout au long de la journée. "C’était un atelier à ciel ouvert […] il était souvent là à contempler, voir les effets de la lumière sur les reflets" explique Gilbert Vahé, le chef jardinier de Giverny
     
     
    Détails des "Nymphéas" peinture de Claude Monet, à l'Orangerie de Paris 

    Détails des "Nymphéas" peinture de Claude Monet, à l'Orangerie de Paris 

     

    Durant les trente dernières années de sa vie, le peintre a fait 250 versions différentes de ce tableau.

     

    Détail des "Nymphéas" peinture de Claude Monet, au Musée de l'Orangerie 

    Détail des "Nymphéas" peinture de Claude Monet, au Musée de l'Orangerie 

     

     


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    Chant de nourrice

     

    " Dors, mon petit , pour qu'aujourd'hui finisse.

    si tu ne dors pas, si c'est un caprice,

    Aujourd'hui, ce vieux long jour,

    Ce soir durera toujours.

     

    Dors mon petit, pour que demain arrive,

    Si  tu ne dors pas, petite âme vive

    Demain, le jour le plus gai,

    Demain ne viendra jamais.

     

    Dors, mon petit, afin que l'herbe pousse,

    Ferme les yeux, les herbes et la mousse

    N'aiment pas  dans le fossé

    Qu'on les regarde pousser.

     

    Dors, mon petit, pour que les fleurs fleurissent

    Les fleurs qui, la nuit, se parent, se lissent

    Si l'enfant reste éveillé,

    N'oseront pas s'habiller.

     

    Mais s'il dort, les fleurs en la nuit profonde,

    N'entendant plus du tout bouger le monde,

    Tout doucement, à tâtons,

    Sortiront de leurs boutons.

     

    Quand il dormira, toutes les racines

    Descendront sous terre au fond de leurs mines

    Chercher pour toutes les fleurs

    Des parfums et des couleurs.

     

    Les roses alors et les églantines,

    Vite, fronceront avec leurs épines

    Leurs beaux  jupons à  volants

    Rouges, roses, jaunes, blancs.

     

    Les nielles feront en secret des pinces

    A leur jupe étroite et les bleuets minces

    Serreront leur vert corset

    Avec un petit lacet.

     

    Les lys du jardin si nul ne les gêne

    Iront laver leur robe à la fontaine,

    Et le lin qui fit un voeu

    Passera la sienne au bleu.

     

    Les gueules de loup et les clématites

    monteront leur coiffe et les marguerites

    Habiles repasseront

    Leurs bonnets et leur col rond.

     

    Et quand à la fin toutes seront prêtes

    En robes de noce, en habits de fête,

    alors, d'un pays lointain

    Arrivera le matin.

     

    Et saluant toute la confrérie,

    Le matin pour voir la terre fleurie,

    du bout de son doigt vermeil

    Rallumera le soleil.

     

    Et pour que l'enfant, mon bel enfant sage,

    Voie aussi la terre et son bel ouvrage

    Il enverra le soleil

    Le chercher dans son sommeil.

     

    Viens, mon petit, viens voir, chère prunelle,

    Pendant ton somme, écoute la nouvelle,

    Notre jardin s'est levé...

    Aujourd'hui est arrivé."

                      Marie Noël (Les chansons et les heures)

     


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                                                                           arbre mort devant Mirmande

     

      André Lhote,

    peintre, professeur et théoricien du cubisme.

    à l'occasion des cinquante ans de sa disparition,

    la ville de Mirmande lui rend hommage par une très belle exposition

    à l'église Sainte Foy

     

    img079.jpg 

     

    Né à Bordeaux en 1885,

    il s'intéresse très tôt à la peinture,

    c'est en 1925 qu'il fonde son Académie de peinture à Paris.

    C'est aussi , à cette époque, qu'il découvre le village de Mirmande qui, alors tombait en ruines.

    Lui en tombe amoureux, achète une maison et la restaure, y fait venir des amis, des artistes...

    Il y installe une Académie d'été pendant plusieurs années...

    On peut dire qu'il a beaucoup contribué à la renaissance du village.

    Il y a vécu 37 ans.

     

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                                                                                   les filles

     

     

    Il meurt à 77ans et laisse une empreinte incontournable dans l'univers du cubisme et  à Mirmande.

     

     

                                                                           

     

     

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                                                                                Portrait de Simone

     

                                              

                                                la Cadière (1957)


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  • Je découvre cette information et je me réjouis de toutes ces initiatives que certains savent prendre

    Allier : des personnes âgées et handicapées invitent des écoliers à participer à un court métrage

    Quand le cinéma gomme les différences. C’est un projet original que portent 14 résidents de la Maison médicalisée et de l’Ehpad de Saint-Pourçain-sur-Sioule, dans l’Allier. Avec les élèves d’une classe de CE2/CM2 de Broût-Vernet, les personnes âgées et celles, plus jeunes, en situation de handicap participent à la réalisation d’un court métrage. / © G. Duval / France 3 AuvergneQuand le cinéma gomme les différences. C’est un projet original que portent 14 résidents de la Maison médicalisée et de l’Ehpad de Saint-Pourçain-sur-Sioule, dans l’Allier. Avec les élèves d’une classe de CE2/CM2 de Broût-Vernet, les personnes âgées et celles, plus jeunes, en situation de handicap participent à la réalisation d’un court métrage. / © G. Duval / France 3 Auvergne

    C’est un projet original que portent 14 résidents de la Maison médicalisée et de l’Ehpad de Saint-Pourçain-sur-Sioule, dans l’Allier. Avec les élèves d’une classe de Broût-Vernet, les personnes âgées et celles, plus jeunes, en situation de handicap participent à la réalisation d’un court métrage. 

    Par K.T. avec Gwendolina Duval Publié le 01/05/2018 à 07:45

    Quand le cinéma gomme les différences... Après plusieurs semaines de répétitions, le clap de début de tournage a résonné dans la classe de l’école primaire de Broût-Vernet, dans l’Allier. A l’affiche du court métrage : des élèves mais aussi 14 personnes âgées et handicapées de la Maison médicalisée et de l’Ehpad de Saint-Pourçain-sur-Sioule, qui sont à l’origine du projet. Avec l’aide d’une société de production, elles ont ainsi donné vie à une très jolie idée.
    " Ce qui est génial, c’est de mettre en avant les personnes handicapées qui, pour une fois, ne sont pas spectateurs mais acteurs de l’activité, avec des valides qui ont un regard (…) qui change par rapport au handicap", explique Jean-François Burlot, éducateur spécialisé de la Maison Bleue à Saint-Pourçain-sur-Sioule.

    Ce court métrage qui, une fois terminé, durera une vingtaine de minutes est aussi l'occasion pour les élèves de côtoyer le handicap ainsi que l’univers du cinéma.

    « Ce n'est pas parce qu'ils sont handicapés qu'ils ne peuvent rien faire », résume une élève de la classe de CE2/CM2.
    « Une fois qu'ils ont compris que la personne a un handicap, on passe alors à autre chose et on est vraiment dans la relation interpersonnelle classique », insiste Nicolas Sem, directeur de l'école de Broût-Vernet.

    Pour réaliser toutes les scènes, l'équipe prévoit un tournage jusqu'à la fin de l'été 2018. Le film devrait sortir au printemps 2019..


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  •  C'est  dans le journal Kaizen que j'ai découvert cet extrait....et la recette

     

    « En mai, fais ce qu'il te plaît » ! Rêve, ose, respire, marche, pédale, fraternise
    Le changement de société ne se fera que dans et par le plaisir.
    Seules les émotions positives sont motrices de métamorphoses, comme le rappelle Spinoza :
    « User des choses et y prendre plaisir autant qu'il se peut (non certes jusqu'au dégoût,
    car ce n'est plus y prendre plaisir) est d'un homme sage. » Alors en ce mois de mai,
    trouve l'endroit où tu ressens de la joie à tenter de nouvelles expériences,
    à faire autrement, à ouvrir ton potentiel d'humanité.
    Le champ des possibles est vaste !
    Préparer un apéro écolo, préférer le vélo à l'auto, respirer, inspirer et partager du temps
    avec ces aventuriers des temps modernes : les migrants. Que ton mois de mai soit joyeux !

     

    Lettre Kaizen n°86 : Le changement est au bout du plaisir !
     
     
     

     

     

     

     
     
        
     

      

     

     
     
     
     

     

     

     
     

     

    Des bouchées apéritives aux herbes

     
     



    Entre sodas, alcools, charcuteries et en-cas industriels, l’apéro est un temple de la malbouffe. Il est pourtant possible de faire de ce rituel un moment de partage aussi délicieux que sain. Les produits à privilégier sont les fruits secs et les graines, ainsi que les fruits et légumes frais préparés de manière à être grignotés facilement. Inspirée du farçou de l’Aubrac, voici une recette aux herbes sauvages ou du jardin qui en régalera plus d’un. Pour les intolérants, elle peut se décliner sous forme de galette sans gluten, à base de farine de sarrasin ou de pois chiches.

     

    Temps de réalisation : 20 min + 15 min de cuisson

    Coût : 3 euros

    Conservation : 3 jours au réfrigérateur

    Ingrédients pour une trentaine de bouchées :

    – 150 g de farine d’épeautre

    – 2 œufs

    – 250 ml de lait de vache ou de soja

    – Deux bonnes poignées de raisins secs

    – 1 bol d’herbes vertes fraîches coupées grossièrement : feuilles de bettes, épinards, arroche, chénopode bon-Henri, persil, laitue, ciboulette, queues d’oignons… Évitez les plantes trop aromatiques, tels l’estragon, la coriandre et thym.

    – 1 c. à s. d’huile pour cuisson

     

    Réalisation :

    1. Mélangez la farine et les œufs comme pour préparer une pâte à crêpes.

    2. Délayez avec un peu de lait, la pâte devant rester assez épaisse, type pâte à beignets. Salez et poivrez légèrement.

    3. Ajoutez les herbes et les raisins secs. Mélangez bien à la spatule ; la pâte doit juste servir de liant aux herbes et aux fruits.

    4. Faites cuire dans une poêle huilée comme une grosse crêpe pendant 10 à 15 min. Retournez à mi-cuisson ; un couvercle en métal ou une seconde poêle pourront vous y aider. 5. Laissez refroidir sur un plat. Découpez en carrés d’environ 3 x 3 cm, éventuellement piqués d’un cure-dent en bois.

    Astuce : la cuisson au four est possible, mais le farçou sera plus sec et moins savoureux. Pour cela, faites préchauffer le four à 180 °C. Beurrez un moule à gratin, versez-y le tout et faites cuire 20 à 25 min. Vérifiez la cuisson en plantant un couteau dans la pâte.

     

     

     
     
     
     

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