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http://www.procreo.jp/labo/flower_garden.swf
Le printemps se cache aujourd'hui : du vent, du froid, de la pluie...
Peut-être trouve-t-il que l'on ne s'est pas suffisamment réjoui de sa venue et cela le rend triste et grognon,
alors cliquez sur le lien ou faites un copier-coller....
cliquez sur la page noire qui apparaîtra et vous le verrez peut-être apparaître....
Incroyable !
Non seulement, je vois des fleurs apparaître sur l'écran
mais, par ma fenêtre, je vois apparaître le premier rayon de soleil de la journée...
Bon§ Il s'est éclipsé avant même que je finisse ma phrase
Mais je ne perds pas courage, il reviendra !
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" Il y a une délicieuse petite mélodie - un air incroyablement magique
et totalement unique - que la vie a composé en votre honneur
et déposé en votre coeur. Personne ne peut vous l'enseigner.
Personne ne peut vous en parler même...du moins, pas en détail.
Et personne ne réussira jamais à l'imiter - oh que non !
On pourrait donc dire que c'est votre rôle,votre mission,
apprendre à écouter et à fredonner votre chanson."
Marie- Pierre Charron
" La musique divine ne cesse jamais de faire entendre
ses harmonies en nous-mêmes, mais la vie des sens est si bruyante
qu'elle noie cette mélodie, différente de ce que l'ouïe peut discerner
et infiniment supérieure à toute réalité sensible." GANDHI
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https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=P-ORJ8jKfT8
Cette vidéo vous montrera et vous commentera le tableau " Les enfants à la crèche"
qui est l'un des derniers grands tableaux à l'huile de Albert Anker, il l'a peint en 1900
C'est en lisant le blog de Alain Gautron : http://alain.apln-blog.fr/
que j'ai découvert le nom et un tableau de ce peintre
Peintre suisse, né à Anet, il fait ses études à Châtelroi puis à Berne. Il convainc ensuite son père qu'il veut être artiste et il se rend
alors à Paris, où il devient l'élève de Charles Gleyre, chez qui Pierre-Auguste Renoir étudie aussi, dès 1862. Puis, entre 1855 et 1860, il suit les cours de l'École nationale supérieure des beaux-arts. Il installe ensuite un studio dans la maison de ses parents et participe régulièrement à des expositions en Suisse et à Paris
Anker épouse, en 1864, Anna Rüfli de Langnau. Le couple a six enfants dont deux meurent très jeunes, les quatre autres Louise, Marie, Maurice et Cécile apparaissent dans certaines de ses peintures. En 1866, Albert Anker commence à faire des projets pour le céramiste Théodore Deck ; au fil des ans, il va réaliser plus de 300 dessins pour des faïences. La même année, il reçoit la médaille d'or du Salon de Paris pour Schlafendes Mädchen im Walde (1865) et Schreibunterricht (1865)1. La famille Anker passe généralement l'hiver à Paris et l'été à Anet.
Entre 1870 et 1874, il est élu député au Grand Conseil du canton de Berne, où il soutient la construction du Musée des Beaux-arts2. Anker voyage beaucoup, il se rend à Bruxelles, Anvers, Gand, Lille, passe l'hiver 1883-1884 à l'Académie Colarossi où il réalise des aquarelles, puis part pour l'Italie.
Anker est membre de la Commission fédérale des beaux-arts, une première fois de 1889 à 1893, puis de 1895 à 1898.
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C'est un jour un peu particulier , ce 20 mars.
Comme le dit Alain Rémond, dans son billet journalier,
"Il y a des jours qui ont le chic pour se faire remarquer"
Le 20 mars, c'est la journée mondiale du bonheur.
C'est la journée internationale de la francophonie.
C'est la journée mondiale du conte.
C'est la journée internationale sans viande.
C'est la journée internationale de l'astrologie.
C'est le nouvel an zoroastrien.
C'est le jour officiel de l'arrivée du printemps.
C'est le jour où l'on a pu voir une éclipse de soleil.
Et c'est le jour de la Saint Herbert.
Il s'en passe des choses en une seule journée!
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"Que cela est petit ce avec quoi nous luttons.
Ce qui lutte avec nous, comme cela est grand.
Celui que cet ange a vaincu,
- qui avait souvent renoncé au combat -
celui-là sort , la tête haute, démarche droite,
sort grand de cette dure main
qui l'épousa pour le former.
Les triomphes ne le tentent pas
Croître pour lui : c'est être
profondément vaincu par une force toujours plus grande.
Rilke (Le livre d'images)
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