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    C'est dans la cathédrale de Nevers dédiée à sainte Julitte et saint Cyr que j'ai découvert cette fresque du XIIe siècle

    qui représente le Christ en Gloire

    Image illustrative de l'article Cathédrale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte de Nevers

     

    Cette cathédrale présente la particularité de posséder deux choeurs, l'un roman à l'Ouest, l'autre gothique à l'Est.

    Le choeur roman se distingue par la crypte et le gigantesque Christ en Gloire peint sur la voute en cul-de-four de l'abside.

    Le chevet gothique, quant à lui, offre aux visiteurs un condensé d'histoire architecturale entre le baptistère du 6ème siècl

    et les vitraux du 20ème siècle. En effet la cathédrale offre une autre particularité, celle de posséder des vitraux

    contemporains

    Cette initiative fait suite à la destruction en quasi totalité des verrières lors du bombardement aérien du 16 juillet 1944.

    En vue de la conception des vitraux le choix s'est porté sur différents peintres parmi les plus importants

    tel que Viallat, Alberola, Honegger  

     
    http://doc-nievre-itis1.antisearch.net/cathédrale St Cyr-Ste Julitte.jpg

    - Le transept roman

    Jean-Michel Alberola - Maîtres verriers : Pierre Defert (croisillon sud), 1990 ; Dominique Duchemin (croisillon nord), 1993-1994

    Alberola adam et eve

     

    J'ai beaucoup aimé cette visite bien qu"elle fut trop rapide.

    J'aurais aimé vous présenter une plus belle reproduction du" Christ en gloire "qui est vraiment magnifique

    et ce que je vous présente ne vous en donne qu'une pauvre idée.

    Le mieux est d'y  aller  ou d'y retourner ou de trouver une plus belle reproduction.

    partipations en cours

     


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  • Et me voilà de retour !

    Joyeuse de partir

    Joyeuse de revenir

    Joyeuse de vous retrouver, de lire vos commentaires et vos blogs

    Joyeuse  de retrouver la maison qui nous attend telle que nous l'avons laissée

    et tout un environnement familier

    et Pistache , la chienne du voisin qui vient nous attendre devant la porte

    et ce bouquet de jonquilles qui a fleuri pendant notre absence...

    Pourquoi ce besoin de voyager et pourquoi ce besoin de revenir?

     

    " Partout on s'emmène soi-même.

    alors partir sans vouloir un ailleurs;

    Partir pour se trouver.

    Dans le silence, dans l'espace.

    Juste au-dessus du temps,juste au-delà des peines.

    Partir sans oublier.

    Pour regarder de plus haut, faire semblant de se laisser aller au vent.

    Pour inventer le sens du fil qui vous attache. "

                                                   Vincent Delerm


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  • Et dans la revue XXI, la belle histoire de cette femme – Françoise - qui a rénové avec soin les appartements de son immeuble pour les louer à des « cabossés de la vie, de tous les âges », du logement social avec le soutien de l’association Habitat et Humanisme, au 47 rue de Chabrol dans le 10ème arrondissement de Paris : « Un pari sous les toits », un pari intergénérationnel

     

    http://www.revue21.fr/

     

    UNE PETITE PAUSE JUSQU'A LA FIN DE LA SEMAINE
    A BIENTÖT. AU PLAISIR DE VOUS RETROUVER


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  • C'était grisaille, vent et tristesse toute la journée ce jour-là

    Et surprise, sortant de la maison vers six heures du soir,

    voici le spectacle qui s'offrait à nous.

     

     surprise de la soirée

    Du soleil en ce soir finissant

     surprise de la soirée

    et toute une bande de nuages qui auréolent la montagne

    et se laissent égayer par lui.

     surprise de la soirée

    Nous restons sans voix devant ce spectacle inattendu....

    La journée avait été si sombre que nous n'espérions plus rien...

    Que la nuit pour oublier

    la nuit qui laisserait place ensuite à un jour nouveau...

     surprise de la soirée

    Et voilà que ce que nous n'attendions plus nous était donné;

    Spectacle de courte durée sans doute

    car la nuit  ne tarderait guère.

    Mais ce qui est éphémère n'en a que plus de prix.


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  • " Quand je vis, la vie me manque. Je la vois passer à ma fenêtre, elle tourne vers moi sa tête

    mais je n'entends pas ce qu'elle dit, elle passe trop vite. J'écris pour l'entendre.

      Quand je n'écris pas c'est que quelque chose en moi ne participe plus à la conversation des étoiles.

    Les arbres, eux, sont toujours dans un nonchalant état d'alerte. Les arbres, les bêtes ou les rivières.

    Les fleurs se hissent du menton jusqu'au soleil. Il n'y a pas une seule faute d'orthographe dans l'écriture  de

    la nature. Rien à corriger dans le ralenti de l'épervier aux zénith, dans les anecdotes colportées à bas bruit

    par les fleurs de la prairie, ou dans la main du vent agitant son théâtre d'ombres. A l'instant où j'écris,

    j'essaie de rejoindre tous ceux-là."

                             Christian Bobin (La grande vie page 90)

     

     


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