• Montauban, fière ville rose du sud-ouest 

     

     

     

     

     

    La Place Nationale est le joyau de la ville.

    Sur chacun des Quatre côtés, la double galerie constitue la grande originalité des couverts qui se raccordent  à chacun des angles par un portique à pans coupés...

    Elle est vaste et cependant paisible

    Et c'est agréable de s'y promener.

     

     

      La Place Nationale.

     

     

    Au sortir du pont,l'ancien palais épiscopal est devenu le musée Ingres...On y trouve aussi des statues de Bourdelle 

     

     

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      En voici une.

     

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     Un peu plus loin, la cathédrale  avec ses 4 énormes statues représentant les évangélistes

     

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      Ici, la seule église qui  a échappé au massacre lors des guerres de religion, elle conserve quand même les traces sur sa façade où l'on voit  l'impact de deux boulets de canon

     

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        En nous promenant le soir, nous découvrons ce dessin, ce n'est certes pas une oeuvre d'art mais j'ai pensé qu'elle méritait bien une photo..je n'ai d'ailleurs pas été la seule à vouloir la garder en souvenir...Unpeu d'humour !


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  • Et me voilà de retour!

    Cela a été court et bon !

    Du soleil

    De la bonne humeur

    Plein de belles choses à voir

    De bons repas.

    Que demander de plus?

     

    J'apprécie ces petits voyages

    qui sont si denses

    que le temps cesse de peser

    ou de s'effilocher...

     

    Au retour, il faudrait passer autant de temps

    pour se remémorer chaque moment

    et s'en émerveiller...

    et le savourer à nouveau...

     

     

    Mais je savoure aussi le plaisir de vous retrouver.


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  • Je lis ce passage qui m'interpelle.

     

    C'est dans le dernier livre de Charles DANTZIG: "A propos des chefs d'oeuvre" page 211

     

    " L'écriture des bons écrivains est une danse.

    D'une certaine façon, toute création est danse.

    La poésie est une danse, la littérature en génèral est une danse.

    La sculpture est une danse arrêtée.


    La parole est une danse sans corps.

    Puisque la danse est une expression sans parole, une sculpture en mouvement, une écriture avec des corps à la place des mots.

    Et les écrivains dansent, petit nombre enivré, entraînant parfois un plus grand nombre.

    Ce sont les moments heureux de l'humanité."

     

     

     

     

     

                                                                            

                                                 


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  • Description de cette image, également commentée ci-après

     

     

    Ici, en Rhône-Alpes, c'est le mois de la francophonie

    Et hier soir, je suis allée écouter ROBERT CHARLEBOIS.

    C'est un des géants de la chanson québécoise avec Gilles Vignault et Félix Leclerc.

    Je ne l'avais jamais vu, il est vrai que cela fait quelques années qu'il s'était absenté des scènes françaises.

     

    De loin, (nous étions au fond de la salle), il a une allure juvénile...Il est au piano pour les deux premières chansons puis il se lève mais ses jambes dansent même quand il est immobile, je sens qu'elles frémissent avant même qu'il ne se soit réellement mis en mouvement...

     

    La musique est un peu trop forte et même si les musiciens sont excellents, je trouve que c'est un peu dommage car on n'entend pas toujours les paroles...et pourtant, il a du coffre,  le chanteur, et une superbe voix...Bon, tant pis pour les paroles, je me laisse entraîner par le rythme et le temps passe très vite tant sa présence est forte et bienveillante et, de plus, il sait être très drôle aussi...

     

    C'est vraiment une bonne soirée


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  •  

    "Bonheur, simplement, d'être là,

     

    Parmi les pluies, les mots visibles,

     

    Sur la terre un instant rassemblée

     

    Dans l'odeur des prodiges,

     

    D'éprouver le sang dru sous l'écorce,

     

    La soif et ses ruisseaux d'épines,

     

    Et de taire la vie pour l'écouter

     

    Parler, d'être là, justement,

     

    Où la lumière tremble et se divise,

     

    D'appartenir à cet essaim de joie

     

    Qui m'assaille et m'enclot comme un fruit,

     

    Puis me disperse au vent de vérité."

     

                                  Pierre Gabriel

     



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